Zandri

Paul eu un grand sourire.

"Sinon vous savez il nous reste la méthode du célèbre général Tiléen: la méthode Git Déa.

Blague mis à part, c'est une mauvaise idée en effet surtout que ni vous ni moi ne parlons leur langue. On va passer par le toit ou la fenêtre."


Il alla récupérer ses affaires auprés d'un Dante incrédule et revint auprés d'Eïnélia.

"Cette fois il n'y a pas d'erreur, c'est la meilleure solution."

Eïnélia leva les yeux au ciel. Elle était en train de sérieusement douter des capacités de son partenaire.
Elle se concentra un peu, prononça quelques mots et tous les deux décollèrent lentement du sol. Dès qu'elle arriva à portée des fenêtres, elle en agrippa une et resta suspendu au rebord, puis attendit que Paul s'agrippe lui aussi pour faire cesser le sort.
Une fois cela fait, elle regarda par la fenêtre en se soulevant légèrement.

Cette pièce était la seule du bâtiment à ne pas être éclairée comme les autres. Grâce à sa vision elfique, Einelia distingua que la ^pièce était grande et sans cloison, elle percevit à l'intérieur plusieurs étagères qui ressemblaient fortement à des râteliers d'armes. Les bandits utilisaient vraisemblablement le premier étage de leur repaire comme armurerie.

Détections es pièges =>

Pièges magiques: 3 alarmes magiques sur 4+

Arghit a effectué 1 lancé(s) d'un Dé 6 :

1

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3

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4

pièges normaux, un piège incapacitant sur 3+

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6

Vous remarquez un fil tendu sur la largeur de la fenêtre, fil relié à une lame de guillotine. Avec un peu d'addresse, vous pouvez parvenir à le désarmer.
Einelia remarque aussi un symbole magique sous ladite fenêtre, symbole qu'il vaudrait mieux éviter de toucher, ce qui est faisable pour un humain agile. Un mage peut aussi tenter de le désarmer.

-On dirait une armurerie, et visiblement entré sans se faire avoir ne vas pas être facile. Je me demande si c'est réellement le meilleur choix.

"On peut essaye d'atteindre l'une des fenêtres à coté non?"

-Je suis pour, mais ma lévitation ne servira à rien, et il faut que je m'économise.

Paul se hissa sur le rebord de la fenêtre, sans pour autant essayer d'y entrer. Il tendit la main à Eïnélia pour l'aider à monter et alla jeter un coup d'oeil dans la fenêtre à gauche de le leur pour découvrir qu'il s'agissait de la même pièce qui avait une taille très respectable. Il passa à la fenêtre de gauche et intima par un geste à Eïnélia de faire de même avec les fenêtes de droite. Il pria intérieurement pour que personne ne passe la tête par la fenêtre à ce moment là...

Eïnélia observa plus attentivement la pièce et se rendit compte de sa taille. Elle devait occuper la majorité, si ce n'est tout l'étage. Toutefois, en regardant les autres fenêtres elle aperçut une lucarne que n'avais pas vu Paul.

Elle lui fit signe d'y aller, celle-ci donnait surement sur autre chose.

Paul vit le signe d'Eïnélia et fit signe qu'il avait compris. Avec d'infinis précautions il se déplaça de fenêtre en fenêtre pour finalement arriver devant la lucarne. Il jeta un regard par la fenêtre pour découvrir...

(MJ?)

... un homme debout, pantalon baissé, en train d'uriner dans les latrines prévues à cet effet. Il est bien sur trop occupé pour remarqué votre présence.

Paul se sentit en même temps aidé et floué par le destin. On lui offrait une solution au problème mais on lui infligeait la vue des parties d'un individu à l'hygiène plus que douteuse... Paul dégaina silencieusement son sabre avant de projeter non moin silencieusement son arme au travers de la fenêtre qui elle fit du bruit. Mais au moins l'arabien s'effondra sans pousser le moindre cri, la gorge transpercée de part en part... Aprés celà, Paul grimpa à l'intérieur de la pièce et fit signe à Eïnélia de venir.

Eïnélia rejoignit rapidement Paul, elle n'avait pas vécu toute une vie dans la forêt pour se laisser impressionner par une simple escalade. Elle escalada la lucarne, passa à travers en faisant attention à ne pas se couper et essaya de ne prêter ni attention au cadavre (et aux parties) de l'homme, ni à l'odeur pestilentielle.

Les deux compères se retrouvèrent dans un petit couloir. A leur droite se trouvait une porte, devant eux, un escalier qui descendait.

"La porte est celle de l'armurerie, nous sommes obligés de descendre..."

Paul prit la tête de la marche, avançant avec précaution et tous les sens au aguets, le sabre au clair. Il descendirent les escaliers pour se retrouver...

Eïnélia s'apprêtait à faire une remarque à Paul mais celui-ci descendit les escaliers avant qu'elle n'en ait le temps.
Résignée, elle le suivit.

En bas, Ils trouvèrent une autre porte, l'entrée probablement ainsi que... une porte encore, à leur gauche. De cette porte provenaient des rires gras et stupides ainsi que des voix qui parlaient arabien.

Paul s'arrêta à l'embranchement et attendit Eïnélia. Ils entendaient des voix derrière la porte de gauche mais la porte en face était on ne peut plus silencieuse...

"Ecoutez Eïnélia, vous entendez ces voix? Je dirait qu'ils sont 3 ou 4. Sans doute en train de festoyer. Il doit y avoir toute la bande là-dedans. Allez regarder derrière la porte silencieuse, voir ce qui s'y cache. Si c'est le hall et qu'il est vide, lancez le signal à Dante et Jackie, sinon revenez. Nous essayerons d'estourbir ces malfrats nous-même.

Sauf bien sûr si vous avez une autre idée."

-Non, je n'ai pas d'autres plan.

Eïnélia s'approcha de l'autre porte et l'entrouvrit pour regarder ce qui se passait de l'autre côté.

Détection des pièges =>

Alarme non magique à la porte d'entrée sur 2+

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4

Einelia ouvrit la porte en faisant attention à ne pas faire sonner la clochette qui servait d'alarme et tomba nez à nez avec Jackie et Dante qui poirotaient dans le froid de la nuit arabienne.

-Bon, bah il semblerait qu'on est besoin de vous.

Une fois les quatre compère réunis dans l'antichambre, Paul leur explica succintement l'idée:

"Pour faire simple... On tue tout ce qui a une arme et qui désire nous tuer ET on évite de tuer l'otage puisque nous sommes sensé être venu la libérer. Des questions? Non? Bien."

Paul ouvrit alors la porte d'un coup et tomba sur une assemblée de coupe-jarret arabiens. L'un d'entre eux fut froidement abattu par une balle en pleine tête.

Follen était partit après s'être lassé du spectacle, préférant vagabonder dans les rues et observer tous se qui l'entourait, tout en repensant à son défunt grand frère. Quand il repensait à lui Follen se refermait sur lui même, et essayait d'être se qu'il avait toujours était... une ombre. Être une ombre parmi d'autre, ne pas se faire remarquer par la foule, rester invisible aux yeux des gens. Tout en nourrissant la haine qu'il éprouvait pour les barbares, il s'occupait les mains avec son hachoir le faisant tourner entre ses doigts d'une manière frénétique. Ce n'était vraiment pas le moment de lui chercher des noises aujourd'hui.

Dante avait suivi l'escalade de ses deux compères tout en surveillant l'entrée de la cache des malfrats, après plusieurs minutes d'attente, la porte s'ouvrit tout doucement, pour y laisser un visage très fin, typique des elfes, Eïnelia ! Celle-ci leur dit alors d'entrer, visiblement il n'y avait pas de garde au rez-de-chaussée, et une fois entré dans le bâtiment, on pouvait entendre des rires gras provenir d'une autre pièce, Paul leur expliqua brièvement la prochaine tâche à accomplir, tuer tout ce qui pouvait gêner le groupe dans sa mission de sauvetage, çà, Dante était en mesure de le faire !

Son associé commença par défoncer la porte où se tenait le groupe des voleurs par un coup de pied, avant de tirer sur l'un d'entre eux, Dante le suivit aussitôt, dégainant sa rapière et fonça vers un arabien qui avait lui aussi sorti son arme, les deux hommes s'échangèrent plusieurs coups, tandis que Jack et Eïnelia entraient eux aussi dans la pièce.