Recensement des fiches validées: Gydea

Nom : Marine Selendis

Âge : 20 ans

Faction : Loyaliste

Spécialisation : Soutient

Compétence : Maîtrise des armes de corps à corps(5) - acrobate(2) - infirmier(5) - médecin(10) - discret(2) - orateur(2)

Pouvoirs psy : Boule de feu(8)

XP : 13

Argent : 4700 crédits

Arme(s) et/ou équipement(s) : Epée longue, une dague, bandages, et dans une sacoche en bandoulière : désinfectants, seringues, 3 fioles de contre poison, une aiguille et du fil.

Description physique et morale : https://2img.net/r/ihimizer/img806/8407/1244425862959.jpg
(les parties comme les épaulières sont en cuir beige)

Du côté moral, Marine est une jeune fille assez stressée. En effet, elle a tendance à perdre tout contrôle d'elle même face à un imprévu (que ce soit l'incapacité à se défendre ou l'inverse mais en vraiment plus fort). Elle est cependant une personne assez joueuse, s'amusant avec le feu au sens propre du terme. N'allumez jamais une bougie en sa présence, sous peine de voir une petite flamme vous chatouiller le nez, tandis qu'elle dissimulera un petit sourire. Sinon, elle demeure quelqu'un de conviviale, bien qu'il lui arrive de trop se sous-estimé et tout surestimé. Cependant, nous avisez jamais de lui jeter de l'eau rien que pour vous amusez, vous risqueriez de vous retrouver sur sa liste noire...

Historique : Marine est née dans une famille à la fois ni trop riche, ni trop pauvre, dans une petite ville plus au sud de la capitale planétaire. Six années passèrent, alors qu'elle semblait tout à fait normale jusque là, alors qu'un incendie venait surprendre la petite famille dans leur sommeil. Tous s'étaient réunit très vite pour essayer de trouver une sortie, mais rien à faire, ils étaient cernés par les flammes. Ils restèrent donc immobiles, dans une étreinte unissant deux êtres qui s'aiment avec leur fille. Cette dernière cependant ne semblait pas vouloir mourir ainsi, et elle garda les bras bien devant elle, comme pour vouloir repousser le feu. Ses parents ne pouvaient être qu'admiratif face à tant d'insouciance et d'espoir, bien qu'ils pensaient inévitablement mourir.
Jamais les flammes ne les touchèrent.
Quand la milice vint éteindre cet incendie et qu'elle trouva la petite famille indemne, on cria au miracle. On louait l'Empereur de les avoir protégés, et toute la ville avait tenu à aider la famille à reconstruire sa vie.
Mais les parents de la jeune fille ne croyait pas à un miracle, non. C'était leur fille...comment avait-elle réussit à repousser les flammes ? Par quelle miracle ? Cela rendait leur fille exceptionnelle, mais ils avaient peur pour elle, peur qu'on ne l'accepte pas ainsi, ou que les autorités ne veuillent la tuer, la considérant comme une menace potentielle. Il lui fallait par contre savoir si oui ou non, elle les avait tous sauvé.
Ils prirent un vieux tapis facilement inflammable, puis y mirent le feu. Ils placèrent le tendre fille devant, puis lui demandèrent de se concentrer, de tendre les bras et de penser, au fond d'elle, qu'elle ne voulait pas voir ce tapis se consumer. Le tapis ne se consuma pas.
Les parents comprirent alors quelle fille ils avaient, et quelle responsabilité pesait sur leur épaules. Ainsi, Marine n'apprit que quelques années plus tard son pouvoir. Ce sujet de conversation devint extrêmement privé, et la jeune fille était assez mature pour le comprendre.

Les années passèrent, Marine apprenait à maîtriser ce pouvoir pour que jamais cela ne soit lui qui la détruise, et ses résultats scolaires s'avéraient être exceptionnelle eux aussi. On offrit alors, par le biais d'une lettre, une place dans une académie à la capitale, Sybbelus. Le contexte historique avait largement aidé Marine à choisir, car d'une part, avec la guerre, on l'avait entrainé à se défendre, bien que cela soit avec une épée car les moyens limités de la famille ne permettaient pas qu'elle se procure autre chose, et cet accident alors qu'elle avait six ans avait fait naitre en elle le désire de sauver des vies. Ainsi, si jamais il y avait une mobilisation générale, elle ne serait pas envoyer au front, mais serait plutôt prise comme étant médecin, une alternative qui plaisait aussi bien au parent qu'à Marine.
Elle fut donc reçu, après que ses parents soient parvenus à réunir suffisamment de fond pour financer ses études, à l'académie Arghitum Depravius, célèbre docteur de son temps et qui avait donné son nom à cette académie. Les cours n'étaient pas très simple en eux, mais Marine s'accrochait encore et toujours, persévérait. Elle ne rentrait chez elle que lors des vacances, lui permettant de garder contacte avec ses parents et de pouvoir évacuer le stress du travail, car elle était quasi constamment sous pression.

Deux années passèrent, et vint l'occupation. Les étudiants ne réagirent pas d'une très bonne façon à cela, et les académies furent alors occupées, les cours arrêtés pour une durée indéterminée. Pire, la violence commençait à se joindre à cette action ridicule. Pour sa sécurité, Marine préféra retourner chez elle, plutôt que de risquer d'être blessée, tuée ou encore enlevée.
Le voyage se déroulait sans grands soucis, et elle arrivait enfin dans la contrée de Alonia.

Nom : Dimensio

Âge : Inconnu.

Faction : Eldar / Arlequin.

Spécialisation : Assassinat.

Arme(s) et/ou équipement(s) : Pistolet shuriken/Lame énergétique/Costume de grand arlequin.

Description physique et morale : Dimensio mesure un mètre soixante dix, une taille raisonnable pour un grand arlequin, bien que cela soit dans la moyenne de taille des eldars. Il porte donc un vêtement en rappot avec son rang : un manteau violet et jaune, couleurs qui sont sensé, comme tout adepte du culte du dieu moqueur, trompé le vue de l'ennemi ; et un masque de deux couleur couvrant chacune la moitié du visage : blanc et noir, deux couleur contrasté et n'ayant sans nul doute aucune utilité avec un sourir toujours ironique. C'est ses yeux sur lesquels l'adversaire va se porter, des yeux brillant, impossible d'en détourner le regard, vous êtes comme piégé par ce regard hypnotique, vous devenez alors la proie de l'assassin eldar, et c'est une fois qu'il est devant vous que vous sortez de votre torpeur, bien trop tard, car vous constatez avec dégout la lame enfoncé dans votre abdomen, qui se retire lentement et qui vous laisse là, mourant, à la proie des charognard. Dimensio porte donc son nom par cette première impression et une seconde : sa rapidité extraordinaire, tellement que l'on pourrait penser à une téléportation, ne vous y méprenez pas, il n'a jamais suivis la voie de l'araignée spectrale.

Dimensio est un incroyable manipulateur, vous auriez beau croire qu'il vient vous aider, c'est toujours pour son propre intérêt, et dès qu'il a ce qu'il désire, il disparait, vous laissant affronté seul les pires atrocité, ne vous laissant que les yeux pour pleurer. Pour l'instant, le portrait donné peut faire pensé au pire tyran qui n'ai jamais existé. Pourtant, il ne fut pas toujours comme ça, il a connu un jour la joie...

Historique : L'âge de Dimensio n'étant pas répertorié, impossible de définir le jour de sa naissance. Venons donc au moment il commence à faire parler de lui. Il a toujours été hypnotisé par le culte du dieu Moqueur, par leur technique de combat comme par les spectacles qu'ils effectuaient. Dans ce genre de spectacle, le Solitaire était pour lui le rejeton, l'incapable, l'intru, pour ne pas devenir comme lui, il fallait croire en ses convictions et réussir. Il entrepris donc un entrainement sur la voie de l'arlequin, un entrainement éprouvant, mais qui lui fit grimper les échelons grâce à sa volonté ; il apprit donc le combat à l'épée, mais aussi le théâtre en débutant en tant que Mime puis en choriste. Il y eu alors, après des années et des années de service qu'il peut enfin devenir grand arlequin et qu'il pu accéder à la bibliothèque interdite. C'est au cour de ces années qu'il connut l'amour, ce sentiment si réciproque à la doctrine eldar. Il commençai à se laisser aller, rêvasser de celle qu'il amait, ce qui fut aussi réciproque. Timpani était son nom, une jeune eldar servant elle aussi dans le culte du dieu Moqueur. Quoi de mieux ? Pourtant, ce qui arrivait arriva, ceci n'était pas censé finir bien. Timpani fut tuée lorsque Magnus le rouge s'attaqua à la bibliothèque. Dimensio ne s'en remit jamais, et après la récupération de la bibliothèque, voua sa vie au culte. Il étudia les archives de la bibliothèque et perfectionna ses méthodes de combat pour oublier celle qui lui avait causer tant de peine. C'est ainsi qu'il apprit les méthode d'assassinat.
On a appris dernièrement que Dimensio s'en était aller de la Toile après avoir lu un document de la bibliothèque interdite : Le cœur brisé de Kaelios.

Suite au RP voici une Mise à jour. (NB : ce qui est déjà écrit demeure toujours VALABLE, ici se rectifie les changements, ce que j'ai précédement écrit fait partit du passé.)

Faction : Eldar / Pirate (capitaine).

Équipement : Pistolet shuriken, lame énergétique, Tricorne, long manteau brun, constume d'arlequin (caché sous le manteau).

Histoire : Après la mort de Timpani, Dimensio, comme dit précédemment, perfectionna ses méthodes de combat. Seulement, il ne s'en remit jamais. Sa vie en temps que Grand arlequin ne rimait plus à rien. C'est alors qu'il voulut enfin sentir ce qu'était la liberté, de faire ce que l'on aime quand on veut, comme on veut, où on veut. C'est alors qu'il fit la connaissance de Gips, un ancien pirate qui avait survécu à la destruction total du vaisseau du capitaine dont il servait autrefois. Dimensio fut fasciné par ces récits et commença alors a exercer la piraterie comme un forban sans âme et sans cœur. Il n'avait plus de raison d'être ce qu'il était, alors quitte à finir sa vie avec honneur, voila ce qu'il disait.
Mais il lui fallait un vaisseau, un équipage était facile à recruter, mais un vaisseau est plus difficile à trouver. Pendant tout ce temps, il avait cacher ses actes de piraterie et donc pouvait toujours consulter la bibliothèque interdite. Il y a trouva alors un ouvrage concernant le "Dark Ruby". Un vaisseau, rapide agile et puissant construit par les Utgart, un peuple qui magnait parfaitement le marteau et la pioche. Cela se passa lors du Moyen Age technologique. Pourtant, ses créateurs redoutait leur création et la cachèrent là de manière à ce que personne ne l'utilise à mauvais escient là où "le ciel se déchire." Cela n'avait aucun sens, et pourtant , Dimensio le trouva. Sur une lune gelée dans la périphérie du système de Kaelios. Lui est son équipage, tous d'ancien pirates, remirent en marche le Dark ruby. C'est alors qu'eus lieu les premiers affrontement contre l'inquisition. L'eldar était devenu la principal cible de l'inquisitrice Maria Valin. C'est ainsi que Dimensio put détruire pas moins de deux vaisseaux armés de l'inquisition. Par son agilité, le vaisseau arrivait alors à frapper celui de son adversaire à plusieurs reprise avant de tirer la dernière salve qui achève l'adversaire. Pourtant, l'eldar subis aussi des revers de fortune, de nombreuse perte comme la destruction partielle du vaisseau. Seulement, ce dernier était "animé'" par quelque chose, quelque chose d'ancien. Personne ne prenait l'avantage jusqu'à ce jour. Seulement, Dimensio consulta à nouveau la bibliothèque interdite et y trouva aussi un ouvrage sur le cœur brisé de Kaelios, un autre artefact Utgart qui trouve sa place sur le Dark Ruby et qui, selon ce qui est écrit, est censé réveillé la conscience du vaisseau, un esprit vieux de plusieurs millier d'années au service de capitaine du vaisseau : Dimensio. Si il parvenait à le trouver, alors l'inquisition n'aurait plus aucune chance de le vaincre.










Un objet pénétra la surface de la planète, s'embrasant sans se consumer et filant à une vitesse folle vers le sol de la planète. L'objet percuta bientôt la surface, plus exactement dans les tréfonds de la capitale. Un air de déjà vu, car des capsules s'étaient elles aussi écrasées quelques jours auparavant.
Personne n'osa toucher à l'objet, au fond d'un cratère où se trouvait avant un chemin, pulvérisant quelques taudis aux alentours. Quelques gueux observaient l'objet de loin, sans pour autant s'approcher. Ils se préparaient à le piller, mais savait que ce genre d'objet étaient brûlant quand il percutaient le sol, mais cela en valait le coup.

Personne ne sortit de la capsule, sans doute l'occupant avait été tué lors de l'atterrissage, ou il n'y avait tout simplement personne. Les gueux avaient rassemblé tout le matériel, bien que rudimentaire, nécessaire à la récupération de matériaux. Ils étaient sur le point de venir la piller quand une patrouille du gang qui régissait ce lieu arriva. Les gueux prirent vite la fuite, ne voulant pas s'attirer d'ennuis, faisant rire au éclats les gros bras. Les hommes s'approchèrent alors de la mystérieuse capsule.

-'Y en a pour combien ? demanda l'un.
-Beaucoup ! Le Boss sera content...et nos poches bien remplies de biftons !

Ils éclatèrent une nouvelle fois de rire.
Soudain, la porte de la capsule commença à s'ouvrir. Ils levèrent tous soudainement leurs armes vers l'entrée, prêt à faire feu sur celui qui allait en sortir.

-Allez, dégage de là toi avant qu'on t'fasse danser ! cria celui qui semblait être le chef.

Un silence suivit, et on voyait bien que les gros bras étaient à bout de nerfs. Une voix moqueuse vint se lever de nul part :

-Avez vous peur de la mort ?
-C'est surtout toi qui y gouter si tu t'montres pas rapidement !

La porte de l'appareil s'ouvrit soudainement, mais rien n'en sortit encore. Les hommes levèrent leur armes, le doigt sur la gâchette. Une ombre sembla s'échapper de l'appareil, et l'un des hommes, par réflexe, lâcha une rafale qui n'atteint personne. Leurs regards passèrent alors sur les environs, à la recherche du malheureux qui les défiait, bien qu'ils étaient tout de même nerveux.
Soudain, la tête d'un d'entre eux roula sur le sol. Ce fut très vite la panique général. Une vague silhouette émergea de l'ombre avec une grâce comparable à celle d'une femme...ou peut-être d'un créature non humaine, puis transperça le premier homme avec une lame qui sembla émerger de nul part, étincelante et n'étant absolument pas de manufacture humaine. La silhouette continua son ballet dansant de mort et de sang, transperçant et tranchant membres et humains jusqu'à ce qu'ils soient tous morts, à l'exception de un dont les yeux avaient été crevé. L'ombre saisit l'homme par le col.

-Quartier de Onibahara, je vous prie. Votre mort sera rapide, je vous le promets.

L'agonisant indiqua la position du quartier, puis une lame lui transperça le crane, le corps s'écrasant mollement sur le sol, noyé dans son propre sang. Puis, aussi vite que l'ombre était apparue, elle disparue dans les ombres.

*
* *

Le quartier de Onibahara était dernièrement ravagé par de violent conflits internes, par des bains de sang même. Aussi, chaque nouveau protagoniste qui entrait dans le quartier ne passait inaperçu, tout de suite soupçonné de venir lui aussi participé au chaos déjà ambiant. Les ruelles avaient été déserté, puis petit à petit repeuplée de son petit taux de passant et de marchands. Tous essayaient de reprendre leur train de vie habituel, bien que conscient des risques qui commençaient à se faire de plus en plus présents.
D'une ruelle avoisinante émergea une silhouette qui s'extirpa des ombres. Une silhouette pouvant être maintenant détaillée.
On l'avait identifié comme un homme, d'une taille avoisinant les 1m75. Seulement, impossible d'aller au delà de cette description sommaire. Cet individu ne laissait rien paraître de son visage, ni même de son corps, chose qui pouvait sembler commun dans la sous-ruche, mais la façon dont il était voilé était bien particulière.
Tout d'abord, sur son visage se trouvait un masque, semble-t-il fixé lui même à un casque. Ce masque reflétait une ironie peu commune, et séparé en deux parties : l'une colorée d'un jaune pâle, et l'autre violette. Deux yeux brillants et un sourire ironique viennent complété ce visage. Au niveau de la tenue, il s'agit d'un grand manteau se terminant par des pointes au niveau des genoux, lui aussi alternant entre la couleur jaune et violette. Ses jambes sont quant à elle voilée par des jambières de même texture et même couleur, puis des bottes qui ne semblait pas être de manufacture impériale. Autre élément insolite : sa tenue se trouvait être usée en de nombreux endroit, et sur sa tête se trouvait un tricorne dans le même état que la tenue. Il portait par ailleurs aussi un vieux manteau usé, par dessus, qui semblait être destiné à cacher principalement le torse de l'individu, car le manteau qu'il portait juste en dessous semblait déchiré à cet endroit.
Rien ne laissait donc paraître de cet homme mystérieux, et à l'accoutrement aussi.

Dimensio lâcha un soupire. Il était différent maintenant, il semblait plus sensible, plus qu'avant même. Il avait accomplit son destin, et maintenant, il était libre, libre de retrouver ce qu'il cherchait depuis tant d'années, et d'enfin retirer ce voile de mensonge qui occultait sa vie depuis des centaines d'années.
L'arlequin était de retour, le capitaine n'était plus, et sa détermination toujours aussi forte. Il la retrouverait. Seulement, on l'avait mit en garde : il ne pouvait espérer la retrouver facilement, ce sera son coeur et le hasard qui le méneront, le pousseront vers le but ultime de sa vie. Ce but qu'il n'avait pu rechercher jusqu'ici, ce n'était pas son destin. Il avait dû oublier tout sentiment et supporter cette double malédiction. Car oui, il était déjà maudit, et la réponse se trouve sous le masque de l'arlequin.

-Timpani, me voici, dit il en s'adressant à lui même, m'aimeras-tu toujours autant après tout ce temps ? Je ne puis le dire, je ne puis dire si tu sauras m'accepter maintenant comme je suis, mais sache que ma détermination à te retrouver n'a jamais été aussi forte. Je t'aime.

Puis il s'enfonça dans les méandres du quartier.


Nom : Dimensio

Âge : Inconnu

Faction : Neutre

Spécialisation : Assassinats.

Compétences : maitrise/maitrise supérieur des armes de corps à corps/discret/furtif/acrobate/gymnaste/orateur

XP : 21

Arme(s) et/ou équipement(s) : Épée énergétique eldar, pistolet shuriken, baiser d'arlequin.

_______________

Nom : Ketty Pierce

Âge : 18 ans

Compétences : Voleur à la tire/Gredin/Dévaliseur/Discrète/furtive/acrobate/Maîtrise des pistolets(je lui donne une utilité au combat tout de même)/oratrice/manipulatrice

XP : 20

Argent : 45 crédits

Description physique et morale : Ketty est une jeune fille, plutôt petite du haut de ses 1m58, fine et gracieuse et habile. Ses cheveux châtains clairs lui tombent jusque dans le bas du dos, généralement attaché et ne laissant qu'une ou deux mèches tombé sur son doux visage. Dans son regard se lit une certaine détresse, car la pauvre n'a jamais eut une vie facile. Ainsi, ses deux yeux bleus inspire bien souvent de la pitié sur la pauvre enfant, bien que certains y soit malheureusement insensibles.
Physiquement, elle n'est pas la plus jolie, mais pas la plus moche non plus, bien qu'elle est développé un certain charme. Fragile, docile et naïve, elle se laisse facilement amadouer, et ses quelques espoirs se résument seulement à l'éventualité qu'on lui laisse quelques minutes chaque soir pour se divertir, ou un peu plus d'argent pour mieux s'habiller, chose rare. Elle est aussi assez timide, et pleure assez souvent dans son désir de ne pas vouloir décevoir.


Historique : Ketty est née dans une famille pauvre au service d'un noble. Ils étaient en quelques sortes ses laquais, et payer une misère qui servait tout juste à faire subsister la petite famille. La jeune fille ne reçu alors presque aucune éducation, part juste un peu lire et écrire, mais à peine. On la sépara bien vite de ses parents pour en faire une domestique modèle, obéissant sans faillir. Elle fut donc élevée de manière très dure, et les punitions montées à l'extrême, allant même jusqu'à la privé de nourriture. Sa seule solution fut donc d'en venir à voler, dès l'âge de 10 ans pour sa survie, affamée, et développa d'une certaine manière un talent pour cela.
Le temps passa, et elle passa au service d'un autre noble, une sorte de cadeau. C'était pour elle l'espoir de trouver quelqu'un de plus sympathique, mais il n'en était rien. Les exigences toujours plus poussées et plus nombreuses que chaque soir, elle s'écroulait sur son lit, morte de fatigue, et elle pleurait quand elle avait encore les forces pour cela.

Cette vie misérable prit cependant un revers lors de l'occupation. Tout d'abord, elle continua de servir son maître toujours normalement, mais vint ensuite un moment où il fut emmené pour opposition au gouvernement. La pauvre Ketty se retrouva alors seule, à la rue, sans le moindre sous, et affamée...

Nom : Simon
Prénom : Lovelace
Surnom : Gueulard

Race : Humain

Faction : Loyaliste

Spécialisation : Sergent Troupe de chasses Spykéliennes

XP : 15
Corruption : 0

Compétences : Maîtrise des fusils/Maîtrise des fusils supérieure, Maîtrise des pistolets/Maîtrise des pistolets supérieure, Maîtrise des armes de corps-à-corps, Meneur d'hommes, Esprit fort/Volonté de fer

Armes : Fusil radiant, Pistolet radiant, Couteau de combat

Équipement : Armure carapace intégrale, Casque avec filtre à air, Pack dorsal branchée au fusil et au pistolet, Quelques vêtements civils


Description :
Simon est de taille moyenne, un mètre 75, est bien proportionné, les épaules larges et les muscles dessinés sous sa peau mate et usée. Ses traits sont creusés et usés, plus par le vent et le soleil que par les batailles. Il possède des cheveux assez courts cuivrés et des yeux vairons, l'un vert et l'autre bleu-vert. Il possède une puissante voix de ténor parfaite pour faire transmettre ses ordres au milieu de la bataille, d'où le surnom que lui donne ses hommes, trésor d'élégance et de subtilité.

C'est un fervent croyant, et il prit souvent. D'une droiture morale exemplaire, il ne s'abaisse pas à ce qu'il considère comme déshonorant pour Ses soldats quitte à en mourir. Il est têtue et obstiné, même s'il est conscient de ce que peut lui apporter le témoignage des autres personnes, particulièrement de ceux qu'il considère comme ses mentors. Courageux, téméraire, à la limite du suicide parfois, il est toujours à la tête des opérations auxquelles il peut participer. Malgré les apparences il tient aux hommes placés sous ses ordres et les sacrifier pour un quelconque objectif ne lui viendrait jamais à l'esprit.
Contrairement à la plupart des dévots de l'Empereur, Simon n'est pas un ultra-puritain et peut appliquer des choses comme le pardon et la tolérance... enfin dans une certaine mesure.


Histoire :
Simon est né sur Spykéllis, un monde principalement agricole dont la valeur stratégique n'a jamais été très élevé, ce qui n'avait valus à ce monde qu'une garde limité. Et ce qui expliquait qu'une infestation tyranide mineure c'est finalement transformé en invasion pleine et entière.
C'est à cette époque que Simon fut recruté comme garde de fortune, alors qu'il n'était qu'un paysan. Heureusement pour lui il avait déjà pas mal chassé et il se débrouilla assez correctement pour survivre, attribuant ceci à son dévouement en l'Empereur tandis qu'il voyait ses camarades moins pieu tombés un à un face aux monstruosités.
Il avait été assigné à la défense du palais et sa section allait bientôt lâcher quand la centrale nucléaire de la ville explosa, faisant instantanément fondre tout une partie de la ville et la majorité des tyranides. Ceux-ci, privés de commandements, furent facile à annihilés par un assaut massif dont la pointe était une escouade de l'Ordo Xenos à l'efficacité extrême.
En quelques heures les tyranides furent refoulés hors de la capitale, même si une partie avait survécus et s'était enfuie dans la campagne environnante.
Pour pallier au problème de ces monstres affamés, le gouverneur ordonna la levée de troupes spéciales destinées à aller traquer ces abominations : les Troupes de Chasse Spykéliennes.

Celles-ci furent entrainés par les quelques membres de l'escouade de l'Ordo Xenos resté sur la planète. Étant l'un des plus vieux vétérans des combats, et n'ayant pourtant fait que quelques semaines de combat, Simon fut engagé de force dans ces escouades. Un choix qui ne lui déplaisait pas forcément, il n'avait jamais trop aimé la vie paysanne.
Il subit donc un entraînement de troupes d'élite, et apprit le maniement de toutes les armes simples : fusil, pistolet, couteau. Voyant en lui une habileté à commander, le chef de l'escouade, un certain Déophui, lui donna comme rôle celui de sergent de la troupe. Il passa donc beaucoup plus de temps à l'entrainer au rôle du commandant, sous tous ces aspects et il est la personne que Simon considère et considèrera toujours comme son véritable mentor.

Une fois formées les Troupes de Chasse furent déployées sur toutes la planète, traquant et exterminant la vermine extraterrestre.

Leur mission fut enfin considéré comme terminée il y a quelques mois et les Troupes de Chasse furent mise ''en service'' à l'échelle galactique.
L'escouade de Simon fut envoyé assisté les forces Aldérannes dans leur combat contre les Lincians pour conserver le système Gydéa. Après tout les tactiques des élites de l'ennemi, les fameux bio-guerriers, ressemblaient par bien des aspects à celle de certaines monstruosités tyranides.

Toutefois ils arrivèrent trop tard, Gydéa était déjà tombé et il durent se réfugier sur l'archipel des FDP, où ils rejoignirent les dernières forces impériales de la zone.

Nom: Kael Johnny Ricco

Age: 37 ans

Faction: Loyaliste

Spécialisation: Combat à distance, arme spécial

Armes: fusil laser avec viseur, couteau de combat, 6 grenades frag, 3 grenades antichar, 6 grenades fumigènes, 5 grenades photoniques récupérées sur Olua

Equipements: gilet pare-balle en kevlar, épaulières composites, casque tri-dôme, treillis aux couleurs des FDP locales, pince coupante, gourde, lampe torche, ration de combat, brouilleurs, pelle 14-18, paquet de cigarette

Compétences: Commandant, maitrise des fusils supérieure, esprit fort, maitrise des armes spéciales

Corruption: 0/105

Description physique et morale: Kael Johnny Ricco est un homme endurci par des combats effroyables contre des horreurs extraterrestres. Il mesure plus d'1.80m et en impose à tous ceux qui le cotoient. La campagne d'Olua l'a rendu bourru, plus prompt à la violence et bien plus courageux. Même selon les standards Aldarnéens, il est un bon soldat. Il peut paraitre froid et adepte de la méchanceté gratuite mais il justifie toujours par sa philosophie de la force et se montre très protectionniste des hommes sous son commandement, le plus souvent de nouvelle recrues. Le traumatisme d'Olua l'a également rendu fataliste et indifférent à la mort, en particulier depuis que son bras gauche a été remplacé par une bionique.


Soldat: Ma mère m'a toujours dit que la violence ne résolvait rien.
Ricco: Vraiment? Je me demande ce que les habitants de Jucha dirait à ce propos...
Soldat: Rien, Jucha a été détruite.
Ricco: Correct. La violence a résolu plus de conflit que quoi que ce soit d'autre. Prétendre le contraire est presque une hérésie...


Soldat: Chef, je ne comprend pas. A quoi sert un couteau dans un conflit nucléaire? Tout ce qu'il y a à faire est d'appuyer sur un bouton chef.
Ricco: Met ta main sur ce mur garde. MET TA MAIN SUR CE MUR!
*sort un couteau et plante la main du soldat contre le mur*
Ricco: L'ennemi ne peut pas appuyer sur le bouton... Si vous lui avez paralysé la main. Medic!


Ricco: Ecoutez bien les nouveaux: je n'ai qu'une règle! Tout le monde se bat. Personne ne fuit. Vous ne faites pas votre boulot, je vous tue moi-même. Compris?


Historique: Kael Johnny Ricco a suivi une éducation sommaire dans les couches moyennes de la ruche. Lorsqu'il eu terminé ses études, lui et ses camarades décidèrent de s'engager ensemble dans les Forces de Défense Planétaire pour esperer mettre un terme au conflit destructeur qui ensenglantait le secteur. Mal leur en prit. Leur première mission se déroula sur Olua contre une colonie xenos. Si Kael se comporta honorablement, ses camarades furent décimés en masse par les xenos à peu bleu tout d'abord, puis par les cafards de l'espace. Une fois que la ville xenos fut capturée, une campagne s'ensuivi contre les cafards qu'il ne tardèrent pas à surnommer les "bugs". C'est lors de ces combats effroyables que Ricco perdit son bras, dévoré par un cafard. Il fut sauvé de justesse et aprés avoir été décoré de la médaille pourpre et avoir reçu un bras bionique, fut renvoyé au front.

Cette guerre marqua profondément Ricco qui changea à jamais car de son escouade originelle, il n'en restait plus aucun au bout d'une semaine à peine. Les pertes s'amoncellant, toujours plus de bleusailles étaient placées pour remplacer les pertes et être exterminées aussi vite. Il en vint à perdre toute considération pour la vie, décidant que tout soldat était considéré comme mort pendant la durée de son engagement dans les FDP. Au sortir du conflit, il avait été sergent instructeur et avait été promu chef de peloton, mais avec la débandade militaire et la chute de Gydéa, il fut rétrogradé sergent par les Aldéranéens qui prirent le contrôle du QG des FDP.