Récupération [chaos]

Krimhilde et son compère entendirent soudain un vrombissement impressionant venant de la tuyauterie du vaisseau. Des cris de terreurs puis d'agonnie suivirent rapidement et finalement, les tirs cessèrent.

Ils entendirent alors des bruits de pas lents derrière eux. Ils se retournèrent et virent un guerrier avec une immense faux crépitant d'énergie corrompue approcher ainsi qu'une silhouette voutée tenant un baton à la main et envellopé dans une robe tachée. Ebola pris la parole:

"-Ce prisonniers ont besoin des bénédictions de Nurgle. Laissez-nous passer!"

L'endroit devenait instable, et la nouvelle amie de Darkmare n'allait pas tarder à se faire trouer. Il regarda vers le couloir perpendiculaire à celui où les deux mercenaires se trouvait. Si ils réussissaient à y aller, il pourraient surement semer les gardes, ou au moins les éliminer plus facilement.
Le marine se dépêcha de dégoupiller plusieurs grenades pour les jeter dans la direction des soldats ennemis. Quand ceux ci virent les grenades a fragmentation arriver sur eux, ils cessèrent de tirer un bref instant. Durant ce cour laps de temps, Darkmare se jeta sur la borgne, l'attrapa par le bras et continua à courir sans s'arrêter vers le couloir. Quelques gardes tirèrent depuis leurs couverts sans pour autant lever la tête, et un tir laser toucha Darkmare sur l'épaulière sans causer de dommages.

Darkmare et Krimhilde Continuait à courir quand soudain, un gigantesque bruit leurs vint des positions impériales, suivit de cris et d'un silence de mort.
Une ombre, puis une autre sortirent de l'obscurité.

"-Ces prisonniers ont besoin des bénédictions de Nurgle. Laissez-nous passer!"

Darkmare dévisagea son interlocuteur. Il portait une faux rouillée et crépitante, une c=longue cepa et une capuche qui laissée entrevoir son immonde visage.
Le marine avait déjà entendu parler des adeptes de Nurgle, mais (Pour son plus grand bonheur) n'en avait jamais vu de près. Il préféra ne pas répondre à la créature et poursuivit son chemin vers les cellules, avec la ferme intention de libérer les prisonniers, Nurgle ou pas. Cette "chose" pouvait bien faire ce qu'elle voulait, tant que cela ne nuisait pas au marine.

Krimhilde avait vu les événements s'enchainer , le Space Marines qui l'avait brutalement tirer dans un couloir , les cris d'agonies des gardes du couloir , et l'arrivée des hérauts de Nurgle. Elle n'en avait jamais vu , et elle aurait préférer que ce soit toujours d'actualité. La simple vue de leur corps corrompu , bedonnant et pourri lui donnait envie de gerber ses tripes. Une odeur épouvantable avait envahi le couloir , Krimhilde avait de plus en plus de mal à respirer et elle décida de s'éloigner le plus possible de ces fous.
Elle fit volte-face et courut aussi vite qu'elle put , au fur et à mesure qu'elle avançait l'infection se faisait de moins en moins sentir. Et l'air filtré des ventilateurs du vaisseau fut comme un souffle d'air pur dans les poumons de la renégats. Une fois assez loin à son gout elle s'arrêta pour reprendre convenablement son souffle. Une question résonnait dans sa tête : Comment des individus pouvaient choisir une telle voie ? Elle ne voyait que la déchéance , la pourriture. Il n'y avait rien de " gagnant " la-dedans. Elle avait renier l'Empereur , aucun dieu ne valait vraiment quelque chose à ses yeux. Même l'Empereur était mieux que cette déchéance volontaire du corps.
Des bruits de pas résonnèrent dans un couloir proche , Krimhilde regarda autour d'elle et s'engouffra dans une petite pièce.

Syphilus et Ebola avait continué leur route, après leur rencontre avec le Space Marine et la femme, celle-ci les avait d'ailleurs devancé, sans doute voulait-elle partir en éclaireur. L'Astartes renégat, lui, se tenait à l'écart, en arrière. Le couple avançait d'un pas lent dans les couloirs sombres du vaisseau Inquisitorial. On pouvait entendre des coups de feu et des cris d'agonie au alentour, mais un petit groupe de quatre personnes pouvaient passer sans se faire repérer. Cependant, le destin (ou peut être Nurgle), en voulut autrement....

Alors que Syphilus marchait, passant prêt de la pièce où s'était caché la borgne, une gêne soudaine vint chatouiller le nez de la créature. L'être ne put se retenir, un bruit désagréable vint alors parcourir les couloirs du vaisseau :

"- ATCHOUM ! Oh... Excusez moi...."

Très rapidement, des bruits de pas se dirigèrent vers le petit groupe, bientôt, une escouade d'une dizaine de Gardes Impériaux surgirent de l'ombre pour s'attaquer aux disciples du Chaos.

Lorskar commençait à s'énerver. Ces adeptes du prince des Plaisir venaient toujours gâcher ces moments de massacres en y ajoutant un plaisir malsain qui n'est pas censé s'y trouver, sauf si c'est celui d'écraser la tête de son ennemi vaincu d'un bon coup de pied.
Les bio-guerrier était puissants mais ils le seraient encore plus s'il se dédiaient à un dieu du combat, et pas à Slaneesh, qui bien que puissant n'a jamais été autant taillé pour le combat que Khorne.
Lorskar récupéra sa hache et continua son chemin dans le couloir sans un regard pour la possédé. Tout ce qu'il désirait c'était du combat, un authentique et réel combat.

-Je suis Slishia, maîtresse de ces braves guerriers et l'une des employeuses de votre maître Minos, Ryld Nata'Sarena. Je suis venue sur ce vaisseau pour récupérer un prisonnier qui se trouve quelque part dans les soutes de ce vaisseau, mais pour le localiser, il va me falloir désactiver les brouilleurs psychiques qui occultent se vaisseau aux yeux du warp et qui maintiennent tous les psykers ici présents dans une quasi impuissance. Je voit le désir bruler en vous, si vous m'aidez à libérer ce prisonnier, je vous assisterait pour vous emparer de l'arme que vous convoitez.


Ryld considéra la proposition de la bio-guerrière. Elle était manifestement tentante, mais à quel point pouvait on faire confiance à des disciples de Slaanesh?

-Très bien. Je pense que l'on fera selon vos indications. Cette balise se trouve probablement sur la passerelle de commandement, nous devrions appeler du renfort, nos effectifs ne nous permettent pas de la prendre d'assaut pour l'instant.

Il se tourna ensuite vers le kroot.

-Qu'en dites vous cher collègue? L'affiliation de ces personne vous embarrasse t elle?

krimhilde arriva dans une pièce plongée dans le noir , elle y entra trop vite et trébucha par terre. Elle se releva en massant son genoux douloureux et commença à fouiller une de ses poches avec son autre main. Une flamme apparu du briquet de Krimhilde. L'objet était de couleur argent , de bonne qualité. La borgne leva le bras pour regarder l'endroit où elle se trouvait. La pièce contenait divers caisses et étagères , rangé avec dans un ordre impeccable. Néanmoins le lumiglobe de la pièce semblait défectueux. La jeune femme aux cheveux de feu avisa une conduite d'aération , à sa hauteur . Elle prit son couteau et dévissa minutieusement les visse , avant de poser délicatement la grille par terre et de s'engouffrer dans le conduit sombre. Elle progressa à quatre pattes , le briquet pointé devant elle. Elle parcouru ainsi une centaine d mètre , sure qu'elle était assez éloignée de la patrouille elle redescendit. Heureusement pour elle il n'y avait personne dans le couloir et elle put continuer. Elle rangea le briquet dans sa poche et saisit son fusil.

Miraculeusement pour elle , elle évita les patrouilles , se planquant dans des recoins sombres où s'abritant dans des pièces étroites. Elle évitait à tout prix le combat , à dix contre une elle n'avais aucune chance. De plus les patrouilles semblaient essentiellement partir vers les bords du vaisseau , soit pour arrêter les troupes de Minos ou celle de Lincia. Elle ne croisa pas non plus de sœurs de batailles , qui avaient surement du se déployer avant l'assaut.

Elle continua à avancer , seule mais confiante. Elle avait été former pour être discrète , les combats à grande échelle ne lui convenait pas. Finalement elle arriva dans un couloir , avec au bout une silhouette humaine qui se dressait dans l'ombre. La borgne sortit son couteau lentement et progressa vers sa cible , le fusil pointé devant elle et le couteau prêt à frapper. Au moment où elle allait attaquer elle se rendit compte de l'identité de l'homme , et se contenta de taper un coup avec son doigt sur l'épaule de l'homme.

Darkmare se dirigeait toujours vers les cellules quand il entendit de nombreux bruits de pas venant vers eux.
Plusieurs tirs commencèrent à fuser vers le groupe, l'escouade était bien armée et décidée à ne pas laisser filer les chaotiques... Plusieurs tirs lasers percutèrent l'armure de Darkmare, le forçant à reculer, lui ainsi que ces "compagnons". Le marine se rendit vite compte que la borgne avait disparue, mais continua tout de même son replis stratégique.
Le groupe se barricada dans une pièces proches comportant plusieurs issues. Le marine renversa une grande table de bois ornée pour pouvoir se cacher derrière. Les adeptes de Nurgle se mirent également à couvert derrière la table, pour le plus grand malheur de Darkmare.

Les impériaux se commençaient a bloquer les sorties, et si cela continuait, les mercenaires se retrouveraient piégé dans cette salle. Darkmare s'adressa aux adeptes de la déchéances:

"Je vais libérer les prisonniers, tachez de résister jusqu'à que ce soit fait!"

Sur ce, il se dirigea vers une porte que les impériaux n'avaient pas encore atteint. Enfin, c'est ce qu'il pensait. en passant le seuil de la poste, le Death Shadow se retrouva face à un colosse (celons les standards humains) de deux bons mètres, qui se jeta sans hésiter sur le marine, un couteau dans une main et un pistolet laser dans l'autre. Le garde lâcha quelques tirs lasers qui n'eurent aucun effet important sur l'armure du marine, puis tenta de planter son couteau dans la gorge de son adversaire. Ces gardes étaient sois fous, sois super entrainé et conditionnés pour tenter de tuer un astarte au corps à corps. Darkmare envoya son poing vers le visage de l'humain qui évita sans encombres, et percuta violemment le marine. Il tenta d'égorger le Death Shadow, mais celui-ci attrapa le poignet du bras armé de l'humain, et commença à sèrrer de toute ses forces. Un sombre craquement se fit entendre, et l'homme hurla de douleur et s'effondra. Darkmare allait achever son ennemi, mais plusieurs tirs fusèrent vers lui, les impériaux avait fini d'encercler la pièce, et si il voulait avoir une chance de survie, Darkmare devait fuir. Il laissa l'humain qui tenait son poignet en bouillie sur place, et se mit à courir vers le plus proche couloir.

Le couple et le Space Marine s'étaient engouffrés dans une pièce à l'arrivée des impériaux, mais l'Astartes était bien vite reparti, prétextant qu'il allait libérer les prisonniers, laissant les deux disciples de Nurgle seul face aux Gardes. L'un d'eux ne tarda pas à faire irruption dans la pièce, il tomba nez à nez devant Syphilus. La créature lui cracha aussitôt au visage, l'humain plaqua ses mains contre son visage tandis que la bave lui rongeait la peau. Bientôt, il s'écrasa au sol, la face verdâtre et complètement pourrie.

Les deux créatures étaient encerclés, les Gardes occupaient chacun des couloirs menant à la pièce, les deux disciples de la déchéance semblaient faits, mais ils ne s'en inquiétaient pas pour autant.

"- Ça me rappelle Ocuris, des gardes nous avaient mis dans la même situation... Dit Syphilus.
- Oh oui, je m'en rappelle... Que de bons souvenirs... Je me suivrai de ce jour toute ma vie, les gardes aussi d'ailleurs.... Répondit Ebola sur un ton nostalgique."

Sur ces mots, la femme prononça un flot de paroles impies, un nuage de mouches s'échappa des pans de la robe de la créature et vint bientôt inonder la pièce. Ces énormes insectes velus s'en allèrent immédiatement dans les couloirs, pour attaquer les Gardes. Des cris de souffrance parcoururent le vaisseau, mais ceux-ci s'arrêtèrent quand une langue de flamme passa dans l'un des couloirs, exterminant des dizaines de mouches. Un lance-flamme.... L'arme que Syphilus détestait le plus car le feu détruisait tous les dons offerts par Nurgle, il fallait s'en débarrasser...

Le prêtre attrapa une grappe de têtes réduites et la lança dans le couloir où se trouvait le porteur du lance-flamme. Les grenades éclatèrent remplissant les murs d'immondices, le Garde armé de l'arme tant redouté fut aspergé. Perturbé par le liquide qui le recouvraient, il abaissa son arme et le feu vint lécher le pus répandu à terre, celui-ci s'enflamma et les flammes remontèrent jusque son origine... L'humain hurla tandis que les flammes dévoraient son corps, il courut à travers le couloir, cherchant un moyen de s'en débarrasser. Cependant les flammes avaient atteints les bombonnes de Prométhéum qui explosèrent... Le couloir se retrouva nimbée de flammes, bien qu'aucun autre Garde ne fut touché par l'explosion, un rideau de feu bouchait désormais l'un des entrées de la pièce....

Aekold et son petit groupe arpentaient les couloirs du vaisseau inquisitorial à la recherche de l'artefact chaotique. Malheureusement, les chaotiques entendirent une patrouille approcher, alors le sorcier à tête d'oiseau tenta d'attirer l'attention de la patrouille dans une autre direction à l'aide d'un sortilège qui pouvait causer une illusion auditive assez puissante qui d'ailleurs ressemblait beaucoup à un chant d'une jeune sirène. Aekold préféra ne pas se battre pour éviter de subir des pertes dans son petit groupe.

Une escouade de gardes arriva sur les lieux et Aekold et sa petite escouade fut obligé de se battre car le sorcier de Tzeentch ne pouvait pas refaire le même coup qu'avant. Le bâton de l'architecte du changement se mit à luire en bleu glacial et un trait de givre parcourut le couloir jusqu'à atteindre un garde ennemi qui fut congelé éternellement par l'impact. Les gardes ennemis firent que leurs fusils crachent du laser pour venger la mort de son allié qui fut à présent congelé. Les lasers blessèrent gravement deux des alliés de Aekold. Le sorcier à tête d'oiseau projeta alors sur ses ennemis des flammes magiques aux couleurs hasardeuses. Les flammes du changement ne firent pas brûler les trois ennemis ciblés, les victimes étaient indemnes mais les trois gardes étaient tout nus et sans défense. Les alliés d'Aekold en profitèrent et tuèrent les trois humains sans défense. Il restait seulement deux ennemis qui furent capturés par le groupe de chaotique pour leur demander où se situait l'artefact démoniaque :

"-Je vous conseille vivement de me dire où est l'arme démoniaque ou bien sinon je pourrais essayer de corrompre votre esprit qui n'a pas de volonté."

"-Je ne vous le dirai jamais, répondit le garde du vaisseau inquisitorial"

"Vous avez fait le mauvais choix, je vais à présent corrompre votre esprit pour que vous m'obéirez au doigt et à l'œil."

Le bâton de l'adepte de Tzeentch se mit à luire en vert clair pendant quelques minutes jusqu'à que les esprits des gardes du vaisseau se soumissent à la volonté d'Aekold. Ces deux gardes durent maintenant exécuter tous les désirs du sorcier à tête d'oiseau.

Maitrelam était entraine de réfléchir à un moyen de se débarasser des gardes quand il sentit quelque chose le taper à l'épaule, il se retourna immédiatement et pointa son bras munis du pistolet radiant laser, derrière lui se trouvait une femme un peu moin grande que lui, le pistolet radiant laser lui arrivait sur le front.

"-Qui êtes vous ?"

La femme poussa le bras du kasrkins sur le côté avant de parler.

" J'espérais qu'en passant du côté du chaos un laquais de l'Empereur gagnait un peu en jugeote mais ça semble pas être le cas , vous m'avez libérer sur Jucha avec tes compagnons. Ou alors c'est les adeptes de Khorne qui ont la mémoire courte ? " répondit la borgne sur un ton acerbe et dur , l'œil pétillant de colère.

Elle désigna le couloir que guettait le disciple de Khorne :

" Y'a quoi la-bas ? Et ne me dit pas que tu réfléchissait , c'est pas compris dans le contrat avec le dieu du sang.... " rajouta t-elle , un fin sourire sur le visage.

Le Kasrkins eu une envie intense de tuer l'humaine pour avoir osé se moquer ainsi des guerriers du dieux du sang, pour le moment, il avait besoin d'elle pour mener à bien la mission.

"La-bas se trouve le poste de commandement du vaisseau".

Le Kasrkins s'avanca lentement vers l'humaine jusqu'à ce que son visage ne soit qu'à quelque centimétre de celui de l'humaine.

"Et si tu continue comme ça, on ne va pas bien s'entendre toi et moi, compris ?"

La borgne supporta le regard du disciple du dieu du sang sans ciller , une lueur calme dans la couleur ambre de son membre oculaire. Ils continuèrent à se fixer comme pendant encore quelques secondes , puis la borgne ouvrit , la parole , prononçant ses mots comme si elle les crachait :

" S'entendre avec une larve qui se trémousse devant son dieu ? Ce n'était pas mon intention , ne t'inquiète pas à ce sujet ma petit larve. Au lieu de commençait à se frapper dessus on ne pourrait pas établir un plan ? Quelque chose me dit qu'ils vont bientôt se rendre compte de l'absence des deux gardes. "

Darkmare s'éloignait des combats tout en cherchant le moyens de libérer les prisonniers. Heureusement pour lui, les adeptes de Nurgle ne l'avaient pas suivi, mais à en juger par les cris venant de derrière lui, ils ne s'en tiraient pas trop mal. Les marine continuait sa route, ne croisant personne, quand des bruits de pas ainsi que des cris vinrent vers lui. Face à la résistance des adeptes de Nurgle, le gardes avaient surement du appeler du renfort. Malheureusement pour Darkmare, il n'y avait aucun abris ou il pouvait s'abriter, il devait donc faire demi-tour si il ne voulait pas être taillé en pièce. Il se retourna donc, et couru aussi vite qu'il le put pour éviter de ce faire repérer, et tourna au premier couloir venus.

L'endroit où il se trouvait ne lui disait rien, il ne devait pas être déjà passé par ici. Il marcha quelques mètres et tomba sur l'entrée d'une immense pièce ou se trouvait de nombreux gardes. L'endroit était proprement gigantesque comparée à ce que le marine avait pu voire jusque là. La pièce était rectangulaire et des rangée de cellules la parsemées. Les cellules étaient complétement fermées et blindée de façon à se qu'on ne puisse pas les ouvrir à l'explosif sans tuer les prisonniers qu'elles contenaient, il fallait donc trouver et actionner la commande d'ouverture. Ce n'était pas vraiment une mince affaire. Mais avant tout, il fallait se débarrasser de ces deux idiots qui n'avaient pas vraiment l'aire de vouloir partir.

Cela aurait était simple, si la pièce ne grouillée pas de gardes... Et pour couronner le tout, Darkmare aperçu les silhouettes de sœurs de bataille. Au moins une escouade d'entre elles rodaient dans le coin. Cependant, si Darkmare réussissait à déverrouiller les cellules, les soldats seraient vite débordés sous la masse de renégats et de mutants qu'elle déverseraient. Il devait au moins essayer. Il s'arma de son couteau, sa seule arme vraiment silencieuse, le champs énergétique de son épée pourrait alerter les gardes, il ne l'utiliserait qu'en cas d'urgence.

Le marine vérifia que personne ne pouvait le voire, et s'introduit dans la pièce, aussi silencieux qu'une ombre. Il longea les cellules d'où sortait toutes sortes de gémissement, de plaintes ou même de prières. Il marcha ainsi quelques secondes, et arriva au bout de la rangée de cellules qu'il longeait. Il jeta un rapide coup d'œil et aperçut deux gardes qui discutaient. Derrières eux, se trouvait la salle de commande, dont on pouvait voire les quelques occupants humains a travers la vitre en verre qui donnait sur la pièce. L'entrée se trouvait derrière les deux gardes. Il faudrait pouvoir entrer sans se faire voir, éliminer tous les occupants de la salle de contrôle (qui heureusement n'était pas très grande et occupée par seulement trois hommes) et ouvrir les cellules toujours sans se faire repérer.Ce n'était pas vraiment une mince affaire. Mais avant tout, il fallait se débarrasser de ces deux idiots qui n'avaient pas l'aire de vouloir partir.

Heureusement, une sœur de bataille vint vers eux, et leurs dit qu'elle et ses sœurs avaient besoin d'homme pour soutenir les soldats aux étages supérieurs. Les deux hommes ainsi que d'autres suivirent ainsi l'escouade de fille de l'Empereur qui quittait les lieux. Darkmare En profita et se jeta dans la salle de contrôle. Un garde le surprit quand il entra, mais le marine ne perdit pas de temps et lui planta son couteau en travers de la gorge pour l'empêcher de hurler. Il se jeta sur les deux hommes restant, d'on un ne l'avait toujours pas vus. Il éclata le nez du premier qu'il vu, ce qui projeta l'homme a terre, et égorgea d'un mouvement rapide et fluide les deuxièmes qui s'effondra à son tour. L'homme à terre dégaina un pistolet laser et le pointa vers Darkmare. Celui ci réagi au quart de tour, si l'homme tirait, le bruit attirerait tous les soldats du coin. Le Death Shadow donna un coup de pied dans l'arme qui s'envola... Le marine souffla, mais quelques chose d'inattendu se produisit: en tombant au sol, le pistolet tire, et le laser détruisit la vitre de la salle. Immédiatement, des cris se firent entendre partot tendis que les soldats accourraient. Darkmare se dépêcha d'achever le garde au sol et appuya sur la commande d'ouverture des cellules.

Le Kasrkins détacha son regard de celui du borgne et se tourna vers les deux morts.

"Mouai."

Maitrelam se tourna vers l'humaine.

"Et à quoi tu pense ? Comment compte tu les attaquer ? Actuellement on est que deux si ton seul oeil valide l'avait pas remarqué."

La borgne jeta un regard rapide dans la salle , ils n'avaient aucune chance à deux , il fallait de l'aide ,et rapidement. Elle allait répondre au Karskins quand une voie mélodieuse de Ryld retentit dans son oreillette , elle jet un sourire moqueur au Karskins qui devait être bouillant de colère sous son casque.
La borgne prit son sac dans son dos et en ressortit les divers morceaux de son arbalète , qu'elle emboita rapidement. Elle sortit un carreau explosif et le fixa à l'arme , prêt à tirer. Son fusil d'assaut pendait contre sa jambe , la sangle coinçait sur son treillis pour éviter que l'arme ne la gène trop en se balançant.
Elle reporta son attention vers le Karskins :

" Je croyais que les disciples de Khorne n'aimaient pas les armes de tirs ? "



[ La transmission de Ryld est la demande de renforts pour la passerelle , on a juste à attendre les Lincia et les Eldars noirs. ]

L'un des sorties de la salle était impraticable. Le couple se concentra donc sur l'autre coté, défendu par des vétérans redoutablement précis. Soudain, ils se sentirent mal, très mal. L'un d'entre eux tomba à genoux alors que son déjeuner remontait. L'escouade toute entière sembla être prise de nausée et ils cessèrent de tirer alors que plusieus d'entre eux vomissaient.

Syphillus sortit alors de son couvert, profitant du sort d'Ebola pour aller ouvrir un passage sanglant vers les gardes paralysés par la nausée. Certains résistèrent et une baïonette failli atteindre le héraut de Nurgle, mais il l'esquiva et tua l'audacieux qui osait riposter. A la fin du massacre, deux gardes étaients morts, quatre avaient reçu un don de Nurgle, et le reste semblait s'etre endui.


Ebola s'approcha de son amant, appuyée sur son baton. Elle plissa les yeux et grinça:
"Ceux qui se sont enfui n'ont pas eu les dons de Nurgle et vont prévenir la passerelle de commandement. Viens phil, allons trouver nos frères prisonniers..."

Lorskar s'arrêta. L'eldar noir venait de l'interpeller pour obtenir son avis. Il n'en avait pas l'habitude, sa vie ayant été soit celle d'un chef soit celle d'une personne qui n'a jamais son mot à dire. En vérité le fait que les bio-guerrier l'accompagne comptait autant que son premier animal chassé.
Seule la folle le gênait. Il se contenta de grogner et continua son chemin.

Une sirène hurla dans toute la prison accompagné par de nombreux voyants rouges signifiant l'ouverture automatique de toute les cellules ainsi que le déverrouillage des verrous psychiques retenant emprisonné la horde d'immondice détenu dans le Vaisseau Noir. S'ensuivit un calme de mort, chaque détenu observant la porte vers sa nouvelle liberté d'un œil interrogateur. Les impériaux furent prompt à réagir, ils commencèrent immédiatement la purge des cellules ouvertes mais la léthargie des hérétique prenait peut à peut fin. C'est alors que des projectiles immatériels de toute sortes fusèrent dans la salle, boules de feu, éclairs, pic de glace, chats enflammés et autres substance létales percutèrent de plein fouet les pauvres soldats impuissants. Seules les Sœur de batailles demeuraient dans un calme parfait. Elles se mirent en cercle autour de leur imagnifer et entonnèrent un magnifique chant apaisant, annihilant les ondes du warp dans la salle. Les psycker perdaient leurs pouvoirs tour à tour tandis que les bolters sacrée chantaient un requiem pour les futurs défunt.
au milieu de ce champs de mort, les mercenaires devaient décider de leurs actions.

Darkmare contemplait la bataille. Les gardes qui l'avaient repéré étaient sois morts, soit débordés par les psykers.
Voyant les sœurs de bataille se regrouper et commencer le massacre des hérétiques, Darkmare se dit qu'il était peut-être temps de filer, les mutants retiendraient assez longtemps les sœurs pour lui permettre de s'éclipser.
Il sortit de la pièce en effectuant un détour pour éviter les zones de combats. Une foi dehors, il se reçu un message signalant une demande d'aide à la plateforme de commandement du navire. N'ayant pas grand chose de plus important a faire, il décida de ce rendre à ladite plateforme, tout en prenant soin d'éviter les gardes envoyés en renforts vers la prison. En marchant, il commença a réfléchir sur l'utilité de ces actions: Il avait bel et bien libérer les psykers, mais pour les envoyer à l'abattoir face aux sœurs de bataille... Bof, de toutes façons, si il ne les avait pas libéré, ils auraient étés tué une foi le vaisseau arrivé a destination... et puis, peut-être que certains réussiraient à s'en sortir. Il marcha longtemps en évitant les patrouilles, heureusement pour lui, le chemin de la passerelle était indiqué sur des panneaux.
Quand il fut enfin arrivé à destination, il aperçus deux silhouette en pleine discutions. Il se rapprocha lentement, arme à la main, prêt a frapper. Au dernier moment, il reconnu la borgne!
Il l'attrapa par l'épaule, et lui:

"Qu'est-ce que tu foutais!"

La borgne se retourna vers le Space Marines :

" Les adeptes de la déchéance , très peu pour moi. J'ai pas la résistance d'un Space Marines ou une armure hermétique. " répondit t'elle d'un ton qui se voulait sardonique.

De la passerelle de commandement on pouvait entendre des voix s'élevait , et des interrogations sur la disparition des gardes , d'une minute à l'autre ils allaient être découverts.

Krimhilde et Maitrelam patientaient tapis dans les ombres quand des coup e feu retentirent derrière eux. Les hommes de Minos soutenus par les lincians avaient poussé le combat jusqu'à la salle de commande. Les soldats en armure noire se déployèrent dans le couloir, abattant sans pitié tout loyaliste sur le remplis.

Ryld et son groupe progressaient rapidement, le gros des forces ayant été décimé par la poussé irrépressible des chaotiques. La calidus s'arrêtait quelques fois afin de lécher le sang frais d'un cadavre semblant plus robuste que les autre. Sur les murs, les aquillas avaient été souillé, parfois remplacer par la croix de Chaos. Le groupe se hâta, il n'était pas question que la fête commence sans eux. Ryld reçu une transmission d'un lieutenant de Minos, les impériaux se rassemblaient au centre du vaisseau, opposant une résistance élevé, les délogés ne serait pas chose aisé. Il reçu un peu après un message psychique de Minos lui indiquant que les loyalistes avaient appelé à l'aide. Les renforts arriveraient dans environs deux heures.


Ryld sentit enfin la présence d'allié, les troupes de choc de Minos assiégeaient la passerelle, ils allaient bientôt lancé l'assaut.

Débarrassé des soldats qui le poursuivaient, Syphilus et Ebola purent se diriger vers les prisons. Ils furent bientôt rejoints par une vingtaine de soldats qui avaient réussi à passer les forces impériales. Minos semblait également vouloir la libération des prisonniers, et du renfort ne serai pas de mal, surtout quand le groupe arriva aux cellules.... Un groupe de Sœurs de Bataille se tenait au centre de la pièce et maintenait en respect les hérétiques, qui venaient d'être libérés. A leur arrivée, les soldats de l'Inquisiteur se jetèrent immédiatement derrière des caisses et commencèrent à arroser de tirs les Filles de l'Empereur, à découvert au milieu de la salle. Celles durent interrompre leur rituel, bien que les tirs ne leur faisaient pas grand chose, ces hommes allaient les gêner. L'escouade se sépara dans le but d'encercler les forces hérétiques, avançant implacablement et libérant des tirs meurtriers.

Syphilus, animé par la haine que lui inspiré ces femmes, se jeta sur l'une d'elle, sur le flanc droit. Le prêtre tira plusieurs fois avec son pistolet à pus, mais les tirs n'eurent d'autres effet que de rouiller les parties touchées. La Sœur répliqua, un Bolt explosa contre le torse de l'hérétique, le stoppant dans son élan. La femme contre-attaqua et donna un grand coup avec son Bolter contre le crâne de son adversaire. Syphilus vacilla mais rétablit son équilibre et envoya sa faux dans un large mouvement circulaire. La lame corrompue rencontra l'armure énergétique de la Fille de l'Empereur, mais ne pénétra pas pour autant ses protections. La créature tenta de la retirer mais celle-ci était coincée. La guerrière en profita pour donner un coup de genoux dans le bas-ventre de son adversaire. Le disciple de Nurgle se courba sur la force de l'impact, une sensation qu'il connaissait bien lui parcourut alors l'organe bouffi lui servant d'estomac. Il sentit alors les dons de Nurgle remontés en lui.

"- BEURGHHHH !!!"

La Sœur de Bataille recula, visiblement très perturbée d'avoir été souiller par un hérétique de cette façon pour le moins.... peu orthodoxe. Lentement les immondices commencèrent à contaminer l'armure énergétique, celle fut bientôt entièrement recouvert de rouille, réduisant les protections de sa porteuse ainsi que ses capacités à se mouvoir. Un rire noir parcourut alors la salle....

"- Vous ne pouvez rien contre la puissance de Grand-Père Nurgle ! Maintenant vous allez payer pour votre manque de foi !"

Syphilus attrapa sa faux toujours planté dans le bras de son adversaire, puis commença à la tirer de toutes ses forces vers lui. L'armure rouillé ne put résister bien longtemps, et la créature récupéra son arme, en même temps que le membre de la femme qu'il affrontait.... Du sang gicla du moignon, mais la Fille de l'Empereur ne semble pas gêner pour autant et tenta de frapper l'hérétique avec son Bolter. Syphilus évita facilement le coup de son ennemi puis, d'un mouvement circulaire, recueillit la tête de la Soeur....

Maitrelam et l'humaine attendaient des renforts, des coups de feu se firent entendre et un groupe d'Eldars Noir apparut du couloir derrière eux, d'aprés les communication, la passerelle était encerclé.

Les groupes déscidérent de passer à l'action, tout les soldats du Chaos présent vers la passerelle lancérent l'assaut, lorsqu'elles entrérent, les impériaux ouvrirent le feu, les mercenaires firent de même et plusieurs soldats moururent de chaque côté, des soeurs de bataille était présente, elle avait beau être en petit nombre elles représentaient une menace non négligeable.

Maitrelam fusilla un, puis deux, et trois garde en entrant avant de se reçevoir un tir de fusil laser dans son bras bionique, le fait que les Impériaux eurent mit leurs fusils laser en position automatique baissa grandement la puissance de leurs tirs, si le tir avait été de puissance maximal, le bra aurait surement été arraché.

Le Kasrkins se mit à couvert et regarda comment se passait l'assaut en sortant de temps en temps en tirant de bréves rafales de fusil radiant laser, son bras bionique bloquais de temps en temps, c'était surement l'oeuvre du tir laser que la bras s'était reçu.