Nous avions fait bon voyage et avions finie par atterrir sur Mandrasa au terme de la durée de trajet ingénieusement déterminé. Le Jokaéros l’a regarda lorsque le vaisseau se posa dans une zone désertique derrière une petite excroissance rocheuse où se cacher. Une pseudo gare se trouvais à moins de quatre cent mètres et était traversé par une ligne quotidienne en partance pour à peu près toute les directions imaginables notamment le quartier industrielle de Madrassa à moins d’une heure de chemin.
Nhuckullm lui fit remarqué qu’ils avaient tout de même une heure, douze minutes de retard par rapport à l’heure prédestiné d’arrivée.
Ghul’shik quand à lui nous indiqua qu’il était exactement onze heures, trente sept minutes et quarante huit secondes locale à l’instant où le vaisseau coupa son moteur.
Tout les capteurs horaires était exactement à cette heure précise, tout était bon.
J’ouvris le sas et posa la première le pied sur le sol de Mandrasa. L’endroit était parfaitement désertique, du moins là où nous trouvions, constitué que de sables et de roches granuleuses.
Trois servo-crânes suivirent et effectuèrent tout un tat de relevé au niveau de l’humidité, de la température, … du sol et de l’atmosphère ainsi que de tout autre paramètre à vérifier.
Je pû observer le vaste horizon dégagé qui s’étendait à perte de vue qu’une fois le gros rocher dépasser, celui-çi mesurais pas loin de trente mètres de haut sur une centaine de larges et cela paraissait une bonne planque de cette posé derrière, de nombreux autres rocheux de taille légèrement plus petit empêchait de nous repérrer car était disposé tout autour comme un petit canyon.
Une fois en dehors de cette « cuvette » je réussi enfin à admirer l’étendu du paysage.
Une ligne de chemin de fer formait mon horizon cachant se qui se trouvait derrière, je me trouvais environ vingt mètres en dessous du niveau de la voie ferré se qui expliquait ma ligne de vue minime de plus la distance entre le point le plus proche de cette voie et le point de ma position devait faire entre trois cent et trois cent cinquante mètre. Une petite bâtisse, sorte de cabane devait faire office de gare pour cette région qui devait être fertile dans le passé mais qui ne contenait que des ruines d’anciens bâtiments d’habitations aujourd’hui. J’avais tout le temps possible pour observé le territoire alentour, je fit donc demi tour et rejoignis notre base afin d’entamer les préparatifs de la journée à venir.