La caravane

"Pour m'aider ce n'est pas de refus. On manque de gens fiables pour nous aider dans le métier. Je croit bien avoir recruté moins de trente type fiable en vingt an de métier! Regardez comme les arabiens étaient paniqués le soir de l'attaque! Mais nous verrons bien si vous résistez à l'épreuve du feu. Croyez-moi ça va être terrifiant à Bel Alliad..."

Dante observait le désert au loin lorsqu'un sifflement aigüe commença à se faire entendre. Croyant d'abord à un nouvel arrivée de mort-vivants, il dégaina son épée avant de faire un tour sur lui-même dans le but de trouver ses futurs adversaires. Ne voyant rien, et ne sentant pas d'odeur de pourriture, il abaissa son arme, le sifflement se faisait de plus en plus aigüe et insupportable, même en se bouchant les oreilles, il était toujours là. Même c'est alors que, derrière ce bruit insupportable, il entendit des rires étouffées derrière un arbre.

"- Sortez de là, et arrêtez ce sifflement ! S'écria Dante."

En voyant Dante se mettre en position de combat aussi rapidement, Eïnélia n'avait pu retenir ses rires, ce qui l'avait immédiatement trahis. Elle coupa court au sortilège d'une pensée, avant de se relever et de se diriger vers l'homme, un petit sourire moqueur accroché à ses lèvres.

-Allons Dante, ne vous énervez pas comme ça voyons. Ce n'était rien d'autre qu'une petit plaisanterie - dit-elle avec de grands yeux innocents.

-Et bien vous semblez etre au fait des dangers de ces terres, je serait ravit d'avoir un compagnon de voaye de plus. Nous partirons de cette oasis à la nuit tombée, soyez pret.

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Akira ôta son gilet de cuir. Heureusement, celui ci était intact, il ne pouvait pas dire la même chose de son corps. La brulure lui faisait un mal de chien. Tout son coup jusqu'à son torse avaient été brulés, si il ne soignait pas ça en vitesse, ça pourrait laisser des séquelles. Il se procura un baume sensé être efficace chez une herboriste et se l'appliqua consciencieusement. Il s'était isolé, loin de ses compagnons. D" là où il était, il voyait la nouvelle, cette Ahotep et ses gens qui l'avaient rejoins.? cela ne lui disait rien qui vaille, il pensa devoir les surveiller un peu.

"-Je vous remercie noble messieur, je m'en vais rassembler le reste de mes affaires et j'irai m'asseoir près de votre caravane."

Léonard s'en alla vers une tente qui semblait tout aussi farfalue que lui, y pénétra et en resorti aussitôt le sourire aux lèvres. Il retourna en direction de la Caravane, s'assit et patienta.

Dante rangea immédiatement son arme lorsqu'il vit qui lui avait joué un mauvais tour. Eïnelia sortit de sa cachette, et sous son regard attendrissant, la colère du Tiléen s'estompa immédiatement.

"- Excusez mon attitude, je suis de plus en plus nerveux à l'approche de ces terres maudites et des créatures qu'elles recèlent, ces territoires sont imprégnés de maléfice et de malédictions pour les hommes assez fous pour s'y aventurer ! J'espère profiter de cette halte pour me reposer un peu, le voyage risque d'être de plus en plus dangereux..."

Nul ne put dire si les compagnons de la mystérieuse étrangère et elle même prirent conscience des yeux braqués sur eux mais ils ne firent rien pour échapper aux regards, pas plus qu'ils ne partaient donner la moindre explication. Certains guerriers s'entrainèrent à l'arc, d'autres se contentèrent de passer le temps en jouant à une forme autochtone du jeu des osselets. De la jeune femme nulle trace depuis qu'elle s'était installée sous sa tente sous la garde de deux hommes assez impressionnants.

Eïnélia savait qu'elle tenait là une occasion d'utiliser cet onguent qu'elle avait acheté.

-Vous me semblez terriblement stressé, que diriez-vous d'un petit massage ? Il me semble que vous aviez apprécié la dernière fois, je me trompe ?

Dante ne put s'empêcher de sourire.

"- Eh bien oui, je crois que çà me ferais le plus grand bien, mais je ne peux accepter que vous fassiez çà pour moi... Sans quelque chose en retour de ma part... A moins que vous ne me laissiez faire de même pour vous..."

Eïnélia était... surprise. Oui, c'était le mot, surprise. Elle qui avait prévu de lui faire profiter des bienfaits de son onguent aphrodisiaque... il n'était pas prévu qu'elle se laisse masser juste après cela. Ceci dit, elle n'allait pas refuser un tel délice.

-Hum, très bien. Vous préférez commencer ?

"Eh bien je vous en pris, allongez vous..."

L'elfe s'exécuta après avoir sorti une fiole d'huile de sa sacoche. Elle demanda alors à l'homme de se retourner, le temps qu'elle retire son chemisier blanc pour relever son dos nue, à la peau si douce et blanche. Einelia s'allongea sur son ventre, laissant alors au Tiléen le soin de la masser au dos. Dante fit couler un peu d'huile dans sa main droite puis la passa délicatement sur l'elfe, tantôt par simple caresse, tantôt par une poigne qui se faisait plus forte, mais qui savait rester agréable et contrôlé. Au fur et à mesure de va et viens de ses mains sur le dos d'Einelia, le bretteur commença à sentir sa compère fondre littéralement sous ses gestes, entrainant par la même du plaisir...

Eïnélia se dévêtit de son chemisier avant de s'allonger dans l'herbe, cachant sa poitrine en croisant les bras.
Lorsque Dante commença son massage elle se détendit progressivement, d'abord légèrement tendu de se laisser ainsi toucher par un humain, mais elle fondit peu à peu sous les caresses.

A vrai dire elle ne pensait plus du tout à la farce qu'elle avait prévu, juste au plaisir qu'elle retirait des massages. Elle laissa même échapper un petit murmure de contentement.

Voyant les effets du massage sur Einelia, l'homme continua encore son massage pendant plusieurs minutes. La peau enduite d'huile de l'elfe s'illuminait sous l'effet des rayons de soleil, lui donnant presque un aspect surnaturel, ainsi qu'un charme sans égal.... Du désir pour cette créature si belle commença à germer dans le cœur de cet homme, qui n'avait jamais connu plus que la chaleur de quelques femmes durant les nuits de campagne, mais il réprima aussitôt ses pulsions, il était en mission, il ne devait pas penser à çà...

Perdu dans ses pensées, l'homme arrêta son massage, laissant à Einelia le temps de se tirer de ses rêveries. Elle releva la tête vers le Tiléen.

"- Vous voulez que je prenne la relève ?"

Alonis entendit depuis l'ombre de son palmier la voix d'Eïnélia et eut le déplaisir de la voir à l'oeuvre avec un des humains du groupe. Il l'avait toujours trouvé étrange, agaçante mais il ne la pensait pas tombée si bas qu'elle jouisse du contact d'un humain.
Certains en ulthuan pensaient les asrai décadents mais l'aesanar n'était pas de cet avis, Sylvestra avait simplement la prudence qu'une vie rude entraine et tels devaient être la majorité de ses pairs mais l'autre... elle avait quitté le siens sans raison, ignorait les plus évidentes réalités de la survie et maintenant elle frayait avec les keigh-mon?
Qu'elle vive parmi les humains si tel était son souhait, Alonis avait déjà bien assez à faire avec sa mission et la protection des deux autres filles d'Isha du groupe.

Eïnélia prit un peu de temps pour se reposer lorsque les caresse eurent cessé. Alors qu'elle allait se relever, elle aperçut Alonis à travers quelques feuillages, qui s'éloignait. Elle n'avait aucune peine à imaginer ce qu'il pensait.
Et honnêtement elle s'en fichait. Jusqu'à dernièrement, elle l'avait considéré comme son seul allié totalement sûre. Mais sa petite aventure avec Paul et Dante lui avait fait comprendre que les humains pouvaient être aussi dévoués que n'importe quel elfe.

Elle releva la tête vers Dante.

-Tu veux que je prenne la relève ?

Le Tiléen répondit d'un signe de tête affirmatif. Eïnélia se releva, et se rhabilla rapidement, en laissant Dante se préparer.

-Je vais chercher un onguent de massage, je reviens tout de suite – lui lança-t-elle avec un petit sourire.

"- Très bien, je vous attends ici alors."

Dante s'assit près du lac et retira son équipement avant d'enlever le haut de sa tunique, révélant un bon nombre de cicatrices sur torse. L'homme en profita également pour voir comment se portait la blessure faite par les zombies, il y a 3 jours de cela, elle était à présent refermé et ne semblait infecté. Très bien ! Se dit le bretteur.

Eïnélia revint chercher le flacon de baume qu'elle avait acheté voilà trois jours au marchand, pui revint vers Dante.

-Allongez-vous sur le ventre s'il-vous-plaît.

Dès que l'épéiste se fut exécuté, Eïnélia appliqua soigneusement le baume sur l'ensemble de son dos, mettant un maximum d'application dans son massage.

[MJ ?]

1-2 => Arnaque! La vendeuse était en fait un skaven du clan Eshin, le beau paralyse totalement Dante ainsi que es main d4einelia
3 => sabotage! Ca marche pas, la loose hein?
4-5 => Oh, chaud dans le caleçon. Dante est immédiatement prit d'une... enfin, faut vraiment un dessin?
6 => C'est la fete dans le slip! Dante devient fou et saute sur tout c qui bouge et qui a une poitrine.

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'Dé 6' : 6

Alors que Einelia massait toujours Dante, celui-ci fut pris d'une soudaine envie d'assouvir ses désirs. D'un seul bond, il se releva, surprenant l'elfe, avant de hurler en battant son torse de ses deux poings, un filet de bave dégoulinait de sa bouche ouverte. La jeune femme, effrayée, tenta alors de fuir mais le bretteur s'élança vers elle puis lui attraper la jambe droite d'une main, et dégainer l'épée de l'autre... La douce créature tenta alors d'appeler à l'aide mais la main velue d'une bête sauvage l'empêcha d'émettre d'autres sons que ceux du plaisir (ou de la douleur), qu'elle ressentira bientôt....

D'un geste élégant, Dante commença à déboutonner la chemise de son amante, avant de caresser délicatement sa poitrine, faisant jaillir en elle mille plaisirs D'un mouvement brute, Dante déchira la chemise de sa partenaire de jeu avant de saisir avec férocité sa poitrine opulente, la faisant gémir à plusieurs reprises. L'elfe tenta de se débattre, mais l'onguent ensorcelé semblait avoir décuplé sa force pour l'acte sexuel, Einelia ne pouvait rien faire, ses membres étaient bloqués, alors que ceux du Tiléen réagissait avec plus de vigueur et de dureté que jamais auparavant.... Alors que la femme semblait se résoudre à son sort, la bête sauvage préparait son futur terrain de jeu de ses grosses pattes velues et sans grâce. Une fois ceci fait, le Tiléen passa à l'instant fort de cette union entre deux êtres, d'habitude si emprunt de tendresse et d'affection, qui ici, avait perdu sa valeur sacrée, pour laisser place des sentiments aussi dur que la plus dure des pierres, et aussi intense que l'Enfer lui-même !

La jeune femme ne put s'empêcher de laisser échapper un soupir de plaisir, excitant d'autant plus la bête qui commençait à la connaitre plus en profondeur désormais... Une heure passa, les coups de Dante étaient toujours aussi frénétiques passant et repassant sans fatigue, même la plus noire des cheminées sortiraient toutes blanches après un tel ramonage.... Des substances plus ou moins avouables s'écoulaient des cuisses de l'elfe, de même que sa poitrine, décidément lieu préféré de la créature pour laisser échapper ses passions... Lorsqu'enfin l'opération de va et vient s'arrêtait quelques instants, c'était lorsque la bête voulait essayer un nouveau terrain de jeu, une nouvelle façon de jouer... Les allers-retours étaient parfois entrecoupé de soupirs de plaisirs, parfois de gémissements de douleur, mais elle avait bien compris que rien ne pouvait désormais faire changer l'envie de cet homme qu'elle avait connu, désormais remplacé par un accro au sexe compulsif et infatigable. Finalement, alors que la nuit tombait sur l'oasis, autrefois lieu de repos, maintenant châtiment divin pour d'autres, Dante relâcha toutes ses mauvaises pensées qu'il avait eu par ce massage, recouvrant presque entièrement Einelia de ses sombres sentiments, encore tièdes des passions qu'ils les avaient faits naitre... La bête poussa un dernier cri de victoire, fatiguée du travail de titan qu'elle avait accompli, avant de plonger dans le lac, avides de dépenser les dernières forces qu'il lui restait, dans autre chose que la purification d'elfe... La femme resta là, allongée sur l'herbe encore choquée par ce qui venait de se passer...

Car ce sont des choses qui arrivent... sur 1-2, Einelia tombe enceinte... les probas sont d'Arax.

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Effet résiduel sur Dante:

1-2 => Le pauvre s'évanoui, va en falloir pour le réveiller
3-4 => L'effet s'estompe de lui meme
5-6 => Kawaboonga!

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Après avoir traversé le lac en nageant, attirant la curiosité de nombreuses personnes, une fois arrivé à l'autre bout du plan d'eau, Dante commença à perdre les effets du massage, sombrant dans un sommeil de plomb, toujours nu...

Cela faisait des jours qu'il marchait vers le sud, mangeant et buvant sur la route, il avait une mine affreuse, même les animaux fuyait lorsqu'il passait. Il avait traversé montagne, foret, plaine et désert. Attaquer par la pluie, le tonnerre et le soleil de plomb.

Il ne savait plus ou il était, sauf le fait qu'il était au beau milieu d'un désert, le sable dorée ondulait a perte de vu. Sa gourde était vide, sa bouche sèche. Il repensais a se qui c'était passé plusieurs jours plutôt. Tout les cadavres... Et une lune rouge. Mais sinon, il ne se rappelais de rien auparavant, enfin, presque rien, il ne se rappelait d'une seule chose et savait que c'était la seule chose qu'il voulait oublier.

Il était épuisé, a bout de souffle, lorsqu'il vit au loin, ce qu'il cru apercevoir comme une Oasis. Son cœur se mit a battre, et ses jambes a courir a toutes vitesse, ou le plus rapide pour un nain. Il approche finalement de l'oasis, mais trébucha dans le sable quelque peu avant.

Akira avait terminer de se soigner. Il avait meme prit un bain dans une partie de l'oasis aménagée à cet effet. Quand il voulu retourner à l'autre bout de l'oasis chercher les affaires qu'il avait laisser à son chameau, il tomba sur un spectacle vraiment... sans commentaires. Einelia gisait sur le sable, et avait apparemment été sauvagement violée. La pauvre elfe avait déjà du subir l'attaque des bandits qu'il avait payé à son premier son premier contact avec le groupe. Enfin, il ne voulait pas la tuer, juste faire connaissance avec elle, de manière un peu chevaleresque.

Son sang ne fit qu'un tour, si il détestait bien un chose, c'était les violeurs. Il marcha jusqu'à son corps à la limite de la conscience et amena Einelia, eroulé dans un morceau d'étoffe blanche que lui avait servit de serviette, loin d'ici. Elle était toute gluante et puait le skaven mort... Elle allait avoir besoin d'un bon bain et il faudrait surement purifier l'eau après.
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Pendant ce temps, un caravanier trouva le corps du nain lui aussi inconscient dans le désert. Il le traina jusqu'à l'oasis et lui donna de l'eau. Quand le barbu se réveilla, le visage d'Hans Gellerman se tenait au dessus de lui.

-Sieur nain, je crois bien que vous me devez la vie.

Namori marchait dans le désert depuis plus de temps qu'elle ne pouvait s'en rappeler. L'adolescente avait réussi à fuir une bande de chasseurs de primes et de bandits la veiille mais à quel prix...

Elle s'était encourue, enfuie dans le désert pour échapper à ses poursuivants qui n'avaient pas prévus qu'elle ait la folie de préfèrer cuire à petit feu plutot que de se laisser ramener à ses parents. Maintenant, elle marcahit sans but vers un point à l'horizon.

La fille avait eut de la chance, après un jour de marche, elle avait rencontré des marchands pour le moins sympatiques qui lui avait offert de l'eau et indiqué la direction d'une oasis. Sans eux, elle serait déja morte à l'heure qu'il est.

Namori fini enfin par apercevoir l'oasis tant convoitée et rassembla ses dernières forces pour se mettre à courir et à battre des bras en hurlant de joie. Elle arriva finalement a campement des nomades sans même prendre le temps de s'arrêter et courut en direction de l'oasis. Une fois arrivé auprès de l'eau, elle se laissa tomber à terre et plongea ses mains dans l'eau pour récolter le précieux liquide et en boire plusieurs gorgées avant de remplir sa gourde. Une fois tout celà fait, elle pensa enfin à se relever et à regarder autour d'elle...