Mission 3: Le paradis perdu

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'Le dé' : 5

Jack suivit le gros balourd qui venait de dégoter la tronçonneuse de sa grand-mère et qui fonçait sur un groupe d'attaquants.

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Dans un geste désespéré, l'homme capturer par Arleth fit sauter une capsule de pesticide hautement concentré pendant à sa hanche de son seul bras valide. Arleth évita sans problèmes le nuage toxique non sans en inhaler les vapeurs mais l'homme, prisonnier de la lame, ne put que s'asphyxier. Il mourut rapidement dans un rale d'agonie.

Harkan arma son fusil et regarda par la fenêtre. Un groupe d'une dizaine de type se dirigeaient vers le relai de communication, pensant surement qu'il abritait le plus gros magot. Les attaquant étaient armés de bric et de broc, quelques un avaient des armes a feu mais la plupart ne maniaient que de simples objets plus ou moins capables de blesser quelqu'un... Soudain le sniper vit un type armé d'une tronçonneuse charger les pillards, suivit de Jack.
L'espérance de vie du paysan n'était pas bien grande si on ne l'aidait pas, Harkan épaula donc son fusil et visa un bandit armé d'un pistolet qui risquait de tomber en miette lors de sa prochaine utilisation.
La balle partit et transperça le crane de l'homme, aspergeant de sang ses compagnons.


[je propose un test de moral pour les autres]

Les trois guérillos , qui étaient des bleus , entrèrent dans le hangar , l'air nonchalant et les armes pointés vers le sol. Ne s'attendant pas à une quelconque présence ils se dispersèrent et commencèrent à piller l'endroit , particulièrement le contenu des caisses et les composants du véhicule agricole. Bart s'acharnait sur le bloc moteur du véhicule quand il entendit un gargouillis , puis un bruit sourd de quelque chose qui tombait par terre.

- Kenz ? Lar ? héla-il.

Pas de réponses.

- Kenz ? Lar ? répéta-il , légèrement inquiet.

- Quoi ?! répondit Kenz.

- Ta rien entendu ? Pourquoi Lar ne répond pas ?

- Nan j'ai rien entendu , et Lar doit en avoir autant que moi de tout le temps répondre à tes conneries. Maintenant ferme la et laisse-nous chercher tranquillement.

Bart ne répondit pas et continua à chercher , légèrement inquiet et vexé. Malgré ce que disait Kenz , Il n'était pas rassurait et il n'aimait pas cet endroit , pas de lumières.
Un nouveau gargouillis , et un bruit sourd. Cette fois Bart se mit à paniquer :

- Kenz ?

Pas de réponse.

Bart prit son fusil et se dirigea vers l'endroit où il pensait que Lar se trouvait. Il n'y avait rien , sauf un tas de caisses. Mut par son instinct il se dirigea vers ce dernier , et sursauta de peur en découvrant le corps de Lar , la gorge tranchée. Bart sentit la peur l'envahir , tandis que le flot vermeil s'épaississait sous son ami. Il commença à reculer de quelques pas , puis se retourna rapidement dans l'intention de fuir. Il ne pouvait plus. Entre ses deux yeux Ana pointait la gueule du canon de son pistolet.

- Pit... commença Bart.

Le coup de feu résonna dans tout le bâtiment. La Balle traversa le crane de Bart , le tuant sur le coup.
Ana souffla la fumée qui montait de son canon , satisfaite. Ses trois imbéciles n'avaient rien vus , rien remarquait et ils étaient morts.
Néanmoins le reste de la troupe entra à ce moment là dans le bâtiment , alerté par le coup de feu. Un première balle siffla près de l'oreille de Ana , qui se jeta derrière les caisses.

Captain Aquila avait eut chaud. Juste après avoir dit "come on", le brigand armé du lance-grenades lui avait envoyé l'un de ses projectiles rudimentaires pile sur sa position. Les vapeurs toxiques n'avaient pas eut le temps d'affecter le Captain puisque celui- ci s'était réfugié derrière l'impossante forme de l'aéroglsseur.

Soudain, des cris abominables se firent entendre suivit d'une forte odeur de chair brulée. Le Captain se décida à jeter un oeil pour voir ou se truvaient ses ennemis.

Il n'eut pas le temps de le faire puisque le déclic d'une arme feu dans son dos l'informa qu'il était mit en joue...

Romrik se cacha derrière des caisses qui étaient probablement remplies de graines et se mit en position pour tirer sur les bandits. L'ingénieur visa un bandit qui inspecta les horizons avec ses camarades. Le Cérusien hésita mais finalement il tira sur sa cible, la nuque fut touchée par la balle. La déflagration du tir fut logiquement entendue par les deux pillards restants qui virent la mort de leur camarade. Les brigands s'approchèrent de la position de Romrik.

Le courtaud barbu ne savait pas trop quoi faire car en même temps il pensa que tout était foutu pour lui. Ses ennemis étaient au courant de la menace. Et de toute façon, il ne saurait pas utiliser son pistolet pour tuer deux personnes à la suite mais il tenta le coup. Romrik en visa un puis tira en fermant les yeux justes après, le cadavre tomba au sol dans une mare de sang. Le dernière ennemi vit exactement d'où venait le tir et se mit à courir dans la direction de l'ingénieur de petite taille.

Le Cérusien sortit de son couvert et tira dans la jambe du dernier pillard, malheureusement elle était protégée par un bout de métal rudimentaire. Le bandit lança une sorte de vieux couteau qui se planta assez profond dans l'épaule gauche de Romrik, heureusement que c'était l'autre bras tenait le pistolet. Le petit ingénieur était déstabilisé mais il tira plusieurs fois dans le torse de son ennemi qui tomba à terre après avoir jeté une autre dague rouillée dans le ventre de Romrik. Le Cérusien grimaça de douleur mais il alla quand même achever son adversaire. Il tira deux balles dans le crâne de son adversaire qui mourut tout de suite. Le courtaud barbu retourna dans son couvert et tenta d'enlever les deux armes de jet de son corps du mieux qu'il pouvait. La première fut enlevée avec quelques difficultés, le sang coulait mais très lentement. La deuxième était seulement accrochée à sa tenue de protection, donc l'extraction de l'arme était plus facile. Romrik mit sa main sur sa plaie et attendit que ça cicatrise.

Les derniers assaillants étaient morts, hachés menus par Arleth ou mis à mort par leurs propres armes. Lyra se rapprocha donc de l'épéiste afin de décider de la suite des événements:
-Je te propose de retrouver l'aéroglisseur, les bandits risquent probablement de tenter de l'attaquer et se retrouver paumés ici sans possibilité de retourner à Artemi hormis à pied n'est pas le genre de choses qui me bottent! En plus si on doit se battre, revêtir mon armure ne serait pas du luxe! Cela te va?

-Ça me convient parfaitement, allons-y.
Arleth sortit les protections d'avant-bras de sa sacoche et les accrocha tant bien que mal avant de sortir prudemment. Apparemment il n'y avait pas de bandits dans les environs immédiats et ils commencèrent la progression vers l'aéroglisseur en prenant soin de se camoufler derrière tout ce qu'ils trouvaient.
Peu avant d'arriver au véhicule des bandits, six ou huit, sortirent d'un des bâtiments quelques mètres devant eux. Ils ne les avaient heureusement pas vus et Arleth se tourna vers Lyra.
-T'as un plan pour te débarrasser de ces guignols ?

-Un plan? Je ne sais pas combien ils sont ni où ils sont. Je sais juste qu'ils m'ont parut faibles et peureux, je pense que si on prend la vie de suffisamment d'entre eux, ils fuiront d'eux même.
Le deux compagnons arrivèrent peu après en vue de l'aéroglisseur et le virent manœuvrer alors qu'une dizaine de bandits s'en rapprochaient, ils n'avait apparemment pas perçu l'arrivée des deux nouveaux venus aussi ceux ci pouvaient tabler sur une attaque rapide pour venir en aide à leur transport.

Takezō Shinmen no Kami Fujiwara no Genshin ou plus simplement Takezō avançait vers sa prochaine étape, un petit village où il voulait se reposer avant d'arriver jusqu'à Artemi. En arrivant en vue des verdoyants champs de Green Progress, il aperçu des cadavres, morts depuis longtemps et d'une mort violente sur le coté de la route. Il fronça les sourcils et poursuivi sa route, la main sur le katana à sa ceinture.

En approchant de l'agglomération de batiments circulaires de type colonial, il entendi des coups de feu. Cette fois il n'eu plus de doute et se mit à courir en direction du village, prêt à défendre les paysans qui le peuplaient. Il arriva en vue d'un immense véhicule qu'il identifia finalement comme un aéroglisseur à l'arrêt. En s'approchant, il vit un groupe de personne armées pénétrer à l'intérieur. Il adopta un profil bas et se déporta dans les champs afin d'approcher du véhicule sans se faire réperer.

Après un court moment de repos, Romrik se sentait capable de se battre à nouveau. Pour commencer, l'ingénieur de petite taille rechargea son pistolet et il alla fouiller les cadavres. Il trouva seulement des armes primitives de mauvaise qualité, c'était quand même déjà ça de gagner. Le courtaud barbu prit sa scie qui semblait être en excellent état et découpa les pièces des armes, pour avoir un peu de matériaux pour ses inventions.

Le Cérusien retourna vers les caisses remplis de graines de maïs. Le technologue utilisa sa perceuse pour faire un trou de taille moyenne dans une caisse et avec un vieux sceau qui trainait par là, il y fit tomber un bon paquet de graines. Il prit son chalumeau pour faire griller le maïs qui comme cela aura un meilleur goût. Le nain put manger un peu moins d'un demi sceau de maïs grillé. Ce repas lui permit de récupérer de son combat passé.

Arleth avait vu comme Lyra la dizaine de bandits s'approcher de l'aéronef. Ils semblaient inattentifs à leur environnement, intrigués qu'il étaient par l'appareil. Arleth sortit doucement de sa cachette et commença à se rapprocher de ses ennemis. Ce faisant il dégaina deux de ses couteaux de combats, même s'il ne savait pas très bien lancer il espérait plus ou moins neutraliser deux des combattants, même si celui de tout à l'heure lui avait prouvé la bêtise qu'ils pouvaient manifester à l'occasion.
Il continua à s'approcher de plus en plus, tout en restant discret. Heureusement les bandits n'étaient pas entrainés et semblaient bien trop absorbés par la contemplation de l'appareil pour le remarquer.
Une fois assez près il lança ses deux couteaux successivement. Le premier se ficha dans la poitrine d'un des bandits qui s'effondra au sol mais l'autre rebondit dans un bruit sourd contre l'aéroglisseur.
Rapidement le reste des brigands se retourna tandis qu'Arleth chargeait en dégainant son épée à deux mains. Ils étaient séparés de plusieurs mètres mais la surprise et l'effet moral lui permettrait peut-être d'éviter de trop souffrir avant le corps-à-corps.

Jack vit le type qu'il avait convaincu de défendre son hameau se ruer en hurlant vers un groupe d'assaillant tronçonneuse ronronnant dans ses mains. Satisfait de lui, Jack resta à l'écart tout en observant la scène. Le lourdaud s'en sortait plutôt bien à vrai dire, les rares salves de balles tirés à son encontre n'avaient pas réussi à l'atteindre et sa carrure impressionnante lui permit de dominer ses adversaires au corps à corps. Grâce à l'impulsion de sa charge, il découpa net le premier de ses adversaires dont les deux parties du corps tombèrent mollement sur le sol. Les deux autres mirent quelques secondes pour réagir et voir le carnage. Ils étaient visiblement choqué par la vision de leur camarade coupé en deux et épaulèrent leurs armes le plus rapidement possible. Le grand imbécile fut cependant plus vif qu'eux et, d'un balayage circulaire de son outil, trancha le bras d'un des survivant tandis que le second lui envoya une volée de plomb dans le corps. Le pauvre homme s'écroula lentement et s'écrasa sur le sol, mort.

Pendant que les deux assaillant tentaient de soigner leurs blessures, ce qui, vu leur gravité allait être plus que compliqué, Jack les visa de son fusil. Il s'était rapproché d'eux, profitant de leur inattention jusqu'à atteindre une position convenable, à la fois peut exposée et assez proche de ses cibles. Il ouvrit le feu en mode automatique et une rafale de projectiles fusa vers les brigands. Celui à la main coupée mourut sur le coup mais l'autre, armé d'une sorte de lance grenade, eut le temps d'ouvrir le feu sur Shepard. La capsule de pesticide se brisa aux pieds de l'avocat qui fut contraint de sortir le plus rapidement possible de
son couvert si il ne voulait pas s'asphyxier. Le grenadier en profita pour le charger en brandissant une barre de fer. Jack eut le temps de dégainer sa gunblade et para une première attaque au niveau de son front. Il sentait bien que son adversaire était plus fort que lui et qu'il devait réagir au plus vite. Il fit donc un pas en arrière, avant de dégainer de l'autre main son pistolet laser. Bien décidé à profiter de son avantage, le dément le poursuivit. C'est alors que Jack se jeta en arrières, pistolets pointé vers sa cible et fit feu., abattant sans autre forme de procès le pillard.

Quand il eut terminer son ouvre, il se dirigea vers l'aéroglisseur. Il n'était pas question pour lui de rester ici sans possibilité de repli.

Sleirghn observait de puis longtemps la bataille qui se déroulé dans le village. Trop longtemps. Il avait vu les véhicules arrivaient et les pillards en sortirent. Il avait vu une jeune femme prendre un de ces véhicules et partirent avec , en direction d'Artemi. Il avait vu un homme en armure et armé de deux armes s'approchait du village.

Maintenant il était temps qu'il rentre en scène , pour se battre , pour tuer.

Il descendit à grands pas la colline qui surplombait de l'oasis et se dirigea vers les champs , pour ne pas être vue trop tôt. La meilleure attaque c'est la surprise. Il détacha son bouclier de son dos et le mit à son bras gauche. Puis il attrapa sa lance dans sa main droite. Il se baissa et se faufila à la suite de l'homme en plaques. Ce dernier s'arrêta pas très loin de l'entrée du village , observant un combat.

Sleirghn arriva juste derrière lui et fit exprès de marché sur du bois sec. L'homme bridé se retourna , l'arme à moitié dégainée.

- Qui est tu ? Quelles sont tes intentions ? , demanda Sleirghn d'un ton impérieux , en pointant son arme vers sa cible , le bras droite et le regard froid.

Takenzo c'était retourné pour se retrouver face à la pointe d'une lance portée par un individu aux singuliers yeux d'or. Il porta lentement la main à la hampe de la lance de son adversaire et, la détournant, lui répondit.

"Vous devez être bien sûr de vous pour menacer ainsi un étranger. Qui êtes vous pour vous encquérir de mon identité?"

- Un tueur , un traqueur , un justicier , un monstre. On me donne beaucoup de définitions en fonction des personnes. Je suis Sleirghn Ascalon. Et je me demande ce que vous faites : Attendez-vous que la bataille soit finit pour rejoindre le camp des vainqueurs ou alors êtes vous trop lâche pour intervenir ? répondit Sleirghn sur un ton froid en repointant sa lance sur le bridé.

Le samouraï détourna à nouveau la lance de celui qui se nommait Sleirghn. Sans sciller, il lui répondit droit dans les yeux:

"Sauver une vie humaine vaut plus que de construire une pagode à sept étages. Je suis un guerrier suivant le code d'honneur du Bushido et je suis venu ici pour faire étape avant de poursuivre ma route jusqu'à Artemi."

- Alors qu'attendez-vous pour intervenir ? répondit Sleirghn , agacé que l'étranger détourne à chaque fois sa lance , qu'il pointa à nouveau vers le bridé , mais en reculant d'un pas cette fois.

"Ne cherchez pas à régenter ce qui ne vous regarde pas, une petite impatience ruine un grand projet."

- Je ne suis pas patient ! Et vos proverbes à la con commencent sérieusement à m'échauffé. Choisissez votre camp : les pillards ou les villageois ? , répondit abruptement Sleirghn en se mettant en position d'attaque , le bouclier devant son corps , la lance prête à frapper.

Takenzo sorit son katana et son wakizashi et adopta une position de combat, prêt à esquiver ou à frapper.

"Si vous êtes du coté des faibles, vous devriez éviter de vous en prendre à moi et vous occuper des brigands vous-même. Pour ma part je n'en sait pas encore assez pour différencier les deux camps."

- Alors c'est que vous êtes aveugle , répondit Sleirghn d'un ton hargneux. Il s'élança vers le combat qui se déroulait entre une dizaine de pillards et un bretteur. Il inversa sa prise sur sa lance et la lança à une dizaine de mètres vers un pillard. Ce dernier n'eut pas le temps de réagir et se retrouve empalé sur place. Sleirghn dégaina sa hache et se lança dans la mêlée en poussant un rugissement.

Takenzo rengaina son wakizashi et suivi lentement le guerrier qui avait rejoint un autre bretteur. Il s'approcha du combat et observa le carnage depuis l'orée des champs.

Les bandits avaient assez rapidement réagis. Les quelques un dotés d'armes à feu s'étaient mis en joue rapidement et avaient ouvert le feu si bien que Arleth devait maintenant enchainés roulade et pirouette pour échapper à leur tirs pas très précis mais trop nombreux. Une balle lui frôla la jambe, une autre s'enfonça, légèrement dans sa protection mais ne l'handicapa pas trop. Toutefois il ne tiendrait pas longtemps toutes ces acrobaties et il risquerait de finir troué.

Heureusement une lance venue d'il ne savait où vint empaler un brigand et les autres se retournèrent pour estimer la menace.
Il profita de cette occasion pour courir aussi vite que possible. Une partie des brigands se tourna de nouveau vers lui mais c'était trop tard, il bondissait déjà.
Il abattit sa lame d'une frappe oblique sur l'un des bandits, ce qui grâce à la vitesse du saut trancha littéralement le forban de l'épaule gauche à la hanche droite.

Plus que 7.

Profitant de l'élan qu'il avait conservé Arleth effectua une rotation complète pour venir frapper sur le côté un autre de ses adversaires. Celui-ci para avec son arme, une pioche, mais recula sous la puissance du coup. Arleth remit les deux pieds à terre et esquiva un coup de masse en se décalant sur le côté avant d'enfoncer la lame dans le ventre de son assaillant.

Plus que 6.

Il se remit en garde, prêt à frapper ou à parer.

"Alors tafiole en collant, on a les fois?"

Celui qui venait de poser cette question était le brigand qui tenait en joue le Captain Aquila. Sa remarque fut suivie de rires bien gras, surement des complices qui étaient avec lui.

"Allez mon gars, dit il en pressant le canon de son fusil contre le dos du Captain, retourne toi que je te dézingue de face pour mieux me marrer. Tu vas vraiment te..."

La phrase du brigand resta en suspend car le Captain avait obéit à son ordre et s'était retourné sans rechigner. Le brigand ne lui avait par contre jamais interdit de lui coller un baigne dans la tronche dans le même mouvement.

C'est donc sous un "yes" de triomphe de la part du Captain que son adversaire s'écroula sur le sol à moitié sonné et en ayant laché son arme.

Le Captain remarqua seulement après que le brigand avait effectivement des compagnons. Une dizaine de compagnons...

Le Captain entreprit donc de faire ce qu'il faisait de mieux: courir et piloter...

C'est donc sous les regards médusés de brigands inhabitués à se prendre des répliques que Captain Aquila se précipita dans l'aéroglisseur...