Nom : Arleth Vann
Age : Euh …. entre 25 et 30, surement
Taille : 1 m 76
Poids : 62 kilos
Spécialisation : le corps-à-corps sous quasiment toute ses formes
Faiblesses : plus ou moins tout le reste
Crédit : 200
Équipement : une grande épée large à deux mains (du genre ça
http://fc00.deviantart.net/fs26/f/2008/083/4/8/Cloud_strife_full_by_Wen_JR.jpg avec la partie arrière de la lame en moins), une dague courbe crènelée, un sabre à une main, un pantalon et un T-shirt moulant blanc, une protection de bretteur sous ses habits (léger et très efficace contre les épées, beaucoup moins contre les balles et autre impact plus concentrés), une grande cape avec capuche de la même couleur, une ceinture épaisse en cuir, des chaussures antidérapantes de couleur marron, quelques pierres à aiguiser, du matériel de soins légers et primitif, des bandelettes de cuir noires autour des paumes de ses mains
Description physique : Arleth est physiquement quelconque, une stature normale et qui ne laisse en aucun cas deviner ses capacités physique légèrement supérieur à la normale, une touffe de cheveux châtains lui retombant en mèches sur le front, des yeux bleus pâles tirant légèrement sur le vert, une bouche généralement neutre et un visage assez charmant le font plutôt passer pour un quelconque artisan vivant bien que pour un combattant aguerri et fou furieux. Heureusement la lame à deux mains toujours accrochés dans son dos aide à montrer sa nature et à écarter les passants.
Il est plus vif et rapide que l'humain moyen, plus fort également et cela grâce à un entrainement de tout les instants inhérent à sa condition de guerrier solitaire. Son endurance n'est en soi pas supérieur à la normale mais c'est sa rage de combattre qui lui permet de surmonter des blessures handicapantes en temps normales. Le problème étant que ça dure rarement dans le temps.
Description morale : Comment résumer le psyché d'un être aussi singulier que Arleth ? Disons qu'il est un subtile mélange de berserk de Khorne, de joueur d'échec professionnel et de fêtard dans une rave-party. Le tout dans des doses dépendant de son état physique et de sa situation emmerdo-géographique.
En premier lieu Arleth est légèrement sociopathe et misanthrope, un mélange détonant qui lui a déjà attirer une belle dose d'emmerdes surtout au vu de son caractère prompt.
Heureusement dernièrement il a commencé à s'intéresser au yoga pour arriver à se calmer et se maîtriser en milieu urbain ou parmi des gens non-agressifs.
Par contre en rase campagne ou face à ses ennemis se révèle toute la haine qu'il conserve contre la vie, et plus particulièrement la vie intelligente.
Son mental torturé lui fait exécuter des acrobaties guerrières toutes plus dangereuses les unes que les autres, pour lui comme pour l'ennemi et le fait qu'il ne porte aucune cicatrice notable sur son corps est un fait exceptionnel en soi.
Souvent saisis de pulsion meurtrière qu'il parvient difficilement à contrôler en milieu fréquenté, il a pris l'habitude d'éviter les lieux de plaisirs et de débauche, déjà car cela est indigne d'un grand guerrier et ensuite car les chairs à nues ont toujours eu sur lui un effet euphorisant, et que personne n'aime être là quand il devient euphorique.
Une autre ''petite'' particularité de Arleth est sa fascination morbide pour tout les types de lames possibles et inimaginables. Ce sont bien les seules denrées matérielles qui l'intéresse vraiment et il ne vendra jamais une lame dont il ne possède qu'un exemplaire.
Historique :
Arleth Vann est née dans un village modeste, voir petit. Bon en fait c'était juste un regroupement de ferme mais ça avait presque l'allure d'un village.
Son père était fermier et sa mère fermière, il était donc destiné à devenir un fermier comme l'aurait décidé une existence tranquille et routinière. Mais l'existence d' Arleth n'était pas routinière et certainement pas tranquille. Son penchant sadique commença le jour où, pour ses huit ans son père lui offrit un couteau neuf pour aller tailler les plans d'arbrisseau de la ferme, seule activité agricole que le jeune homme faisait correctement avec la moisson, mais une faux c'est pas évident à manier quand on a tout juste huit ans.
Le jeune homme s'empara du couteau comme d'une relique et bientôt il ne le quittait plus, jonglant avec et ne perdant aucune occasion de s'en servir. Ses parents croyaient l'avoir amené à savourer certains des facettes du métiers d'agriculteurs mais n'importe quelle personne s'intéressant un peu au gamin lorsqu'il était seul aurait très vite déchanté : lorsque qu'il taillait les arbrisseau il enchainait les frappes, comme dans un vrai combat, se glissant sous les branches.
Peu à peu Arleth gagnait en muscle et en vitesse. Il avait demandé au forgeron du village de courber son couteau, qui avait désormais une forme de dague. Il expliqua à ses parents qu'il coupait mieux et la pointe plus fine était utile pour faire des coups précis dans les parties fragiles de l'adversaire. Les deux fermiers mirent cette connaissance du combat sur le compte de l'imagination d'un enfant de 12 ans mais c'était tout autre. Arleth avait pris l'habitude de s'entrainer au combat et en capacités physiques tous les après-midi, courant pendant des heures dans la forêt non loin, sautant les racines épaisses ou de branches en branches, se musclant tout le corps dans différents exercices et s'entrainant au maniement de ce qui était maintenant une dague d'assez bonne qualité.
Puis, vers ses 19 ans, alors que comme il en avait l'habitude il se promenait en forêt en alignant les frappes sur la végétation et en esquivant d'invisibles adversaires, il surprit une jeune fille en train de se baigner. Il se souvient encore de sa chevelure de la couleur de l'ébène, des ses yeux bleus perçants, de ses courbes plus qu'avantageuses. Il se souvient s'être stoppé devant cette magnifique apparition et l'avoir regardé pendant plusieurs minutes, jusqu'à ce que la jeune fille crie de peur en le voyant.
Il ne souvient pas de la suite, se rappelant juste que tout est allé très vite. Puis sa mémoire se reforme sur une autre image, celle de la rivière rouge tandis que le sang sortait lentement du corps de la jeune fille, et que Arleth était enfoncé dans l'eau jusqu'à la taille, tenant sa dague pleine de sang dans une main et sa tête de l'autre.
Il se souvient de la sensation qu'il avait à ce moment, le goût amer et agréable de la mort dans la bouche, l'odeur du sang qui se répandait et la sensation de pouvoir que provoquait le fait d'avoir tué.
Dans les heures qui suivirent il ne retourna pas au village, il n'y retournerait jamais plus. Depuis il erre sur les chemins, dans le but de ressentir un maximum de fois ces étranges sensations lors des meurtres. Même s'il n'a jamais complètement tué pour rien il n'en reste pas moins un criminel de la pire espèce, connue dans tout le sud du continent avant d'immigrer vers le nord.
Il porte des vêtements blancs pour que les fluides vitaux écarlates qui s'extraient de chaque corps qu'il tranche soit le plus visible possible sur lui.
Il est a noté qu'il a pris l'habitude de décapiter les adversaires mourants en commençant pare les pieds, le plus ardus étant de les garder en vie jusqu'au cou.