Zexes

-Vous êtes de la ville? Je ne vous ait jamais vu pourtant... avec tous ces murmures de guerre on a dû resserrer la sécurité vous savez... Mais je pensais quand même que je me serais souvenu d'une albinos qui serait passée par ma porte.

-Je ne suis effectivement pas passer par votre porte, si cela peut vous rassurer votre mémoire est toujours intacte. Pouvons-nous passer ?

-Je ne pense pas que vous puissiez faire grand mal... entrez.

Tu veux voir si je peux pas faire grand mal ? Salya se força à sourire et pénétra dans la cité, suivie d'Iriko.

-Merci bien.

Soléa s'approcha d'une des portes de la cité. L'un des deux énormes gardes lui demanda se qu'elle faisait la...

_je fais pénitence monseigneur, je souhaite me rendre a votre célèbre chapelle a l'effigie de saint sebastian thor.

Elle espérait se faire convaincante malgré sa voix tremblante...

Iriko suivit Salyä en passant les portes de la ville, sans une pensée pour les autres mercenaires. Cette infiltration n'était pas très bien ficelée au gout de la doc. Ils ne s'étaient même donner rendez-vous une fois dans la ville ou même après le repérage.

Iriko se tourna vers l'autre mercenaire :

- Chercher un indic' me semble être une bonne idée. C'est assurément plus rapide que de se balader au hasard.

La ville de Rinoa était organisée autour de son fleuve et de ses trois artères principale. Ces avenues partant chacune de la place au centre de la ville partaient en droite ligne vers l'une des trois portes de la cité, bordées d'échoppes et d'auberges. Sise non loin de la porte est, on trouvait la chapelle de Sebastian Thor entourée d'un cimetière, d'un cloitre et de toute une clique d'hôtels pour les nombreux pèlerins. Au sud se trouvait la caserne des gardes de la ville non loin des échoppes des divers forgerons et armuriers de la ville. On trouvait également un camp d'entrainement pouvant également servir de lice de joute.
Pour le reste, la ville avait été construite sur les rives d'un lac, ses arrière comptant sur l'eau comme une muraille naturelle et abritant un port fluvial. La demeure du seigneur enfin était installée plus en avant dans le lac, entièrement entourée d'eau et uniquement reliée à la ville par un pont mobile.



Soléa passa sans difficulté, les pèlerins étaient des dizaines à aller et venir chaque jour.

-Bonne idée, allons peut-être chercher dans le port, c'est généralement là qu'on trouve les crapules.

- Le nobliau m'a parler des coutumes locales. Les femmes sont presque intouchables ici, précieuses. Elles font les taches ménagères et sont bien traitées. Mais elles ne portent pas les armes. On devrait faire attention à nos faits et gestes ici.

-Je dirais que c'est un simple cadeau alors... Et puisqu'il faut rester respectable, évitons le port plutôt. On avait envisager de faire sauter quoi déjà ?

- Une réserve d'armes ou de poudre. Un arsenal en somme.

Azra et Avery arrivèrent au point de passage sur le dos de leurs montures. Là les gardes leurs demandèrent la raison de leur présence:
-On vient prier Saint Sebastian Thor pour qu'il nous absout de nos péchés et qu'il nous guérisse de nos maux (Azra découvrit alors légèrement son bandage). J'ai bien peur d'avoir perdu mon oeil et seul le Saint pourrait y faire quelque chose alors je tente ma chance.

Salya regarda aux alentours et aperçut ce qui semblait être une caserne.

-Allons voir par là. Mais je me demande si nous passerons facilement... Bah, allons voir.

Salya dirigea son cheval vers la caserne.

-Les pèlerins et tous les fidèles de l'Empereur Dieu seront toujours les bienvenus dans notre cité! Entrez donc.




La caserne était un édifice aux murs épais flanquée contre l'enceinte de la cité, haute de trois étages avec une petite dépendance sur le côté. Il ne semblait pas y avoir de gardes en faction permanente devant le bâtiment en lui même bien qu'un homme gardât la dépendance.

Bon, Avery et le vétéran était a l'intérieur de la cité, et ils ne savait toujours pas quoi faire, il se tourna vers son compagnon une fois qu'ils étaient assez éloigné des gardes.

-Bon on fait quoi? Les autres chercherons surement quoi faire sauté ou de quoi faire une diversion... Et si on essayais de trouver les mécanisme des portes?

Salya observa le bâtiment. La dépendance gardait surement la réserve de poudre, mais il fallait pouvoir pénétrer dans le bâtiment pour vérifier. Ce qui n'était actuellement pas possible.
En tout cas la caserne était contre le mur, ils pourraient donc abattre les murailles et les défenseurs d'un seul coup s'ils se débrouillaient bien.
Mais il faudrait beaucoup de poudre...

Elle continua sa balade sans s'arrêter, ne voulant pas paraître suspecte. Elle se dirigea vers la rivière, et plus particulièrement l'endroit où la rivière franchissait la muraille.

-Pourquoi pas... De toutes façon je n'ai pas beaucoup d'idée. Je te suis.

Soléa avança de quelque rue dans la cité et respira un grand coup... le plus dur était fait... maintenant elle devait a tout prie rejoindre les autre, et trouver quoi faire exploser... elle demanda le chemin de la chapèle a une passante qui la renseigna avec un sourire. En arrivant a proximité du lieu de culte elle se dit que finalement, pour attirer l'attention ce n'était pas si mal... des centaines de pèlerin se pressait en se bousculant alors que des dizaines de gardes gardait chaque recoins...

elle se mit alors a chercher ses compagnons qui devaient être rentre avant elle... en premier lieu elle chercha du coté des réserves de poudres ou il s'étaient sans doute rendue...

Avery regarda autour de lui, et localisa l'endroit ou devrais etre les mecanismede la portes. Il fit un detour au travers des ruelles pour revenir a coté d'un porte au niveaud'une des tour de la muraille. Il debarqua son cheval et confiant, mais pas trop, il sortis un pistolet et ouvrit la porte.

Le mur s'avançait de trois mètres dans l'eau par delà le sol de la ville avant de s'arrêter brutalement, laissant place au fleuve. Ainsi, une plate forme de bois, un bateau ou simplement un peu de nage devrait permettre de franchir l'obstacle en ce point...


Avery trouva la porte verrouillée, visiblement par un verrou simple.

La porte était barré, Avery donna un coup de pied sur le verrou pour tenter de le faire céder.

La porte ne bougea pas.

-Saloperie de porte!

Il empoignant son pistolet a deux main et tira quelque coup sur la serrure.

La porte s'ouvrit mais deux gardes s'nnimèrent sur la muraille, pointant leurs arquebuses droit sur Avery
-Qui va là? Main en l'air, jetez vos armes!

Alucard débarqua finalement dans une ville traversé par un fleuve. Bon, il avait pas l'air fin dans sa robe, et il fallait que ça change. Il chercha donc un magasin de vêtements et se précipita dans le premier qu'il trouva, ignorant les regards moqueurs.
Il s'adressa à la vendeuse.

-Bonjour madame, ou mademoiselle, j'aurais besoin de vos services. Possédez-vous des vêtements hommes ?