La fic où VOUS vivez les aventures d'un :hap: !

Vous avez choisi la réponse 3.



Vous débutez donc votre chorégraphie impensable devant la belle, pensant l'effrayer. Mais il n'en est rien...au contraire, elle sourie et vous regarde. D'un air stupide certes, mais vous regarde quand même.
Vous vous tordez sur vous-mêmes, défiant les lois de la physique et du corps humain en produisant divers bruits étranges dans lesquels se trouvaient très probablement de nouveaux sons pas encore découverts par l'Humanité. Vous laissez aller vos membres partout autour de vous, comme un poulpe-garou ayant bu de l'absinthe à très forte dose durant une éclipse. Vous bavez aussi, répandant quelques gouttes de ce liquide visqueux sur le tapis très moche du salon.
Vous faites attention néanmoins à ne pas hurler, mais vous déblatérez maintenant des choses encore plus incohérentes, mixage étrange de l'Hongrois, du Néanderthalien pour peu qu'ils avaient un langage, et des bruits parasites gastriques.Vos yeux sont blancs, car le reste est passé de l'autre côté, vous pouvez donc voir l'intérieur de votre crâne en étant dans un état de semi-transe.
La blondasse en est très impressionné, mais soudain, par inattention, vous lui retournez un coup de coude dans la figure, ce qui eu pour effet de faire gicler son sang par le nez et de faire sortir un oeil de son orifice.
Conscient de ce que vous venez de faire, vous pratiquez de suite les premiers soins.
Vous lui assénez donc plusieurs gifles pour qu'elle se réveille, mais, voyant que ça ne marche pas, vous l'a frappé carrément. Mais ça ne marche pas non plus, vous empoignez donc, à contrecoeur, votre bouteille de panaché et lui frappez le front avec.
Il est trop tard cependant...elle est morte. Vous remettez en doute vos compétences en premiers soins. Puis, voyant le corps de la mère d'Edouard défiguré et sanguinolent, vous vous rendez compte qu'elle ne vous attire plus tant que ça, vous vous dites donc que c'est de sa faute, à elle.

Vous vous relevez, et inspirez un grand coup. La pièce est dans le désordre le plus total, du fait de votre danse pour le moins énergique. La télé est au sol, brisé, le canapé est retourné. De la bave se mêle au sang pour former une mare d'une couleur indéfinie dans laquelle baigne un oeil difforme, tandis que le corps de la jeune femme gît dans une position inconfortable dans les débris de la bouteille de panaché, et dans le panaché lui-même, qui se mêlait également au sang.
Mais des bruits de pas se font entendre dans l'escalier...

-Maman, c'est toi ?

Edouard Cislak ! L'occasion de vous venger se présente enfin...vous devez le ramener chez vous avec le panaché, en prévision du rituel. Il n'est en fait pas nécessaire qu'il soit vivant, vous vous dites donc qu'il serait plus judicieux de le tuer maintenant. Il crèvera de toute façon, donc bon.

Le voilà maintenant sur le pas du salon. Il est profondément choqué par la scène qui s'offre à lui ! Vous remarquez qu'il est pyjama Chuck Norris avec des chaussons en cochon
Vous prenez rapidement une photo avec votre portable, pour balancer ça sur Facebook

Que faite-vous ensuite ? (j'sais plus s'il y a un "s" ou pas à "faite(s)" ? Corrigez-moi ! )

1) Vous le mangez. Vous pourrez le régurgiter ensuite pour le rituel.

2) Vous le combattez loyalement, d'homme à homme, dans le jardin, face à face.

3) Vous foncez chez vous pour balancer les photos, de sorte qu'il se suicide de lui-même, à cause de la trop grand honte.

J'hésite entre le 2 et le 3

Allez 2

3)

1)


KOM C BON

2

3

1)

KOM C2 C R

Je n'ai pas compris la réponse de Drieg

Tu votes pour la 2, c'est ça ?

Oui le 2 au final

2 )

3)

2)
KOM IL VA MOUE RIRE

Vous avez choisi la réponse 2.



Armé de votre truelle, vous défiez Edouard en combat singulier. Celui-ci l'accepte et remonte dans sa chambre cherché son arme.
Vous l'attendez dans le jardin, en observant le jour qui se lève. Kom c bo.
Votre ennemi arrive, avec dans les mains...un long katana.
Mais...c'est une épée ki krash du fe ! Le salaud. Mais ça ne vous fait pas peur. Vous vaincrez, comme toujours.
Vous êtes face à face...soudain, Edouard engage le combat. Il pointe sa longue lame vers vous, et une énorme boule de feu en sort !
Vous parvenez à l'esquiver, et elle termine sa course dans une maison plus loin, la réduisant en cendres avec ce qu'elle contenait dans une détonation assourdissante.
Vous profitez de l'occasion pour le charger. La truelle frôle son cou, et Edouard vous assène un violent coup sur le crâne avec le pommeau de son katana qui vous fait tituber. Vous reprenez vite vos esprits, assez vite pour parer en vitesse la lame qui menaçait votre intégrité physique.
Vous contre-attaquez d'un coup de truelle, mais Edouard pare votre coup d'un revers rapide !
Le combat risque de s'éterniser !
Vous commencez à avoir du mal sous la pluie de coups qui vous tombent dessus à tous les parer.
Ce serait la honte de se faire buter par un Noeliste. Surtout par lui.
Mais soudain, l'impensable se produisit ! Il venait de commettre une faute, vous avez donc une occasion inespérée d'en finir...
Vous n'en attendez pas moins et vous vous élancez, truelle en avant, vers sa gorge. Il tente de vous contrer, mais il est déjà trop tard. L'arme rustique s'enfonce violemment dans le coup du Noeliste, provoquant une entaille profonde et sanguinolente. Il tomba au sol et eut quelques soubresauts minables avant de mourir...
Vous étiez fier de vous.

Vous êtes maintenant chez vous. Le panaché, comme le cadavre d'Edouard, sont dans le frigo, pour conserver.
Vous devez donc maintenant vous afférer aux autres tâches.

Que faites-vous ?

1) Vous allez choper un cochon dans la campagne

2) Vous allez à la Fnac. Pour vous calmer un peu.

3) Vous balancez les photos sur le net.

1

2)

2

KOM C NUL UNE EPE KI KRASH DU FE !

1) jeune gomme .

3)

KOM C SA DIK

3

1

3)
KOM IL VA A VOIR LA HONTE

Vous avez choisi la réponse 1.



Après une bonne matinée de repos, vous décidez de vous mettre en quête du cochon grillé. Vous vous demandez comment vous allez faire pour le ramener de la campagne jusqu'au 93 sans attirer l'attention. Mais vous verrez ça plus tard.
Plus urgent, il vous faut un moyen de transport. Vous sortez donc de chez vous, vous vous rendez à votre lycée, et vous prenez la voiture de Virgil. Elle ne lui sert plus à rien maintenant. En plus ce con avait laissé les clés.
Vous sortez enfin de la belle ville qu'est Paris au bout de deux heures de route. Vous avez dû galérer dans les embouteillages et écraser un gosse. Mais ça c'était de sa faute.

Mais au fait...il y a le salon agricole ! En plein coeur de Paris ! Pourquoi ne pas y avoir pensé plus tôt ?
Vous vous retapez donc deux heures de routes, écrasez à nouveau un gosse, mais ça c'était juste comme ça, parce que l'occasion se présentait.

Vous voilà donc au salon agricole. L'odeur n'était pas facilement supportable, mais tout les vieux y arrivent, donc pourquoi pas vous ? Peut-être parce qu'ils y sont habitués. Ce sont des campagnards après tout.
Après près d'une heure de recherches, vous trouvez enfin l'enclos plein de jambons sur pattes. Vous étiez déjà passé devant trois fois, mais vous ne les aviez pas vu.
Le coin sentait encore moins bon que dans le reste du salon.
En revanche...il y avait énormément de monde autour de l'enclos. Dont le propriétaire des cochons. Tant pis, Hapower vous protège.
Vous enjambez donc la barrière de fortune, et vous chopez un porc de petite taille, pour le transporter plus facilement. Tout le monde vous regarde d'un air plutôt étonné, et le propriétaire vient vers vous.

-Eh le jeune, l'jambon c'plus loin, là y sont encore vivantes les braves bêtes !
-MER TA GUEULE CONNAR LE COCHON C DU JAMBON GOGOL

Après cette sublime réplique ne laissant place à aucune réponse directe, vous lui envoyez de la paille dans les yeux, et vous vous enfuyez. Le cochon s'agite, ce qui permet de se frayer un chemin à travers la foule, qui est terrorisé.
Deux policiers tentèrent de s'interposer. Vous en avez donc mordu un, et l'autre a prit la fuite.
Vous parvenez enfin à la sortie, mais un homme en trench coat marron, un cigare à la main et avec un chapeau melon marron également, vous attendait...

-Tu arrives enfin. Je t'attendais, Charles-André...
-OMG !
-Tu me reconnais, n'est-ce pas ? Tout les Hapistes me reconnaissent...mais pour la forme, je me présente : On m'appelle...Triplepatte. Je suis l'un des fondateurs du Noëlisme (véridique ! ).

Vous venez tout juste de remarquer la cage juste derrière lui. Il y avait quelque chose à l'intérieur, mais vous ne saviez pas quoi...

-Ta quête s'achève ici...et ta vie aussi. Dis-moi, quel âge as-tu ? 15 ans ? 16 ans ?
-JAN E 17 CONNAR
-17...C'est un peu vieux pour lui, mais ça lui fera plaisir tout de même...

Il laissa tomber son cigare au sol, avant de l'écraser de sa chaussure noire brillante...

-Ouvrez la cage...

Il s'écarta, et disparu, tandis que la porte de fer de la cage se soulevait peu à peu, grâce (à cause dans votre cas) de l'effort conjugué de deux autres Noëlistes perchés sur cette-dite cage.
Vous entendiez une respiration rauque...puis des bruits de pas lourds...
Dès qu'elle vous vit, la créature velue chargea dans votre direction, sourire aux babines.

-OMG, 1 PEDOBEAR !

A cet instant, le temps se figea. Hapower avait fait pause, et vous parla.

-Kom je vé te débara-C du cochon

Un halo bleu entoura le porc en question et le fit monter au ciel.

-Kom sa ta lé m1 libr

Puis le temps retrouva son cours normal...
Le pedobear chargeait à toute vitesse dans votre direction, affamé à l'idée de...enfin voilà.

Que faites-vous ?

1) Vous vous enfuyez chez vous.

2) Vous lui lancez un enfant pour le distraire.

3) Vous faites la danse du psychopathe Hongrois.

2)

3 et 2 si ça marche pas