Fiches Mandrasa, RP libre

Voilà, postez ici vos persos.

Aucune règle, aucune limite, restez juste logiques et un peu mesurés si possible

Nom : Philip Stark

Âge : 52 ans

Profession : Docteur

Armes : Scalpel,pistolet à six-coups.

Equipement : Medipacks,morphine.



Portrait physique :

Philip est un homme petit,portant des lunettes,avec une barbe de trois jours et chauve. Presque toujours en blouse blanche,ce docteur à l'air sympathique au premier coup d'oeil,toujours souriant et de bonne humeur. Mais en regardant bien,il y a quelque chose d'inquiétant dans ses yeux,on sent qu'il vous observe,qu'il vous évalue. Ses yeux noirs perçants sont perturbants,et son sourire à quelque chose de malsain. Sous sa blouse se cache un homme d'assez forte carrure,musclé,toujours en chemise noir rayée. Il porte aussi des chaussures et un pantalon noir,ce qui fait une étonnant contraste avec sa blouse. Il a des dents d'une blancheur éclatante,assez impressionnant quand il sourit de toutes ses dents. Il est assez étrange que cet homme ait une telle carrure alors qu'il n'ait jamais fais de sports ...



Portrait moral et historique :

Philip est plutôt quelqu'un de joyeux,bien qu'il soit un peu solitaire depuis la mort de sa femme et la disparition de ses deux enfants. C'est une personne assez bienveillante,qui aime beaucoup son métier et qui adore soigner les gens. Lorsqu'un de ses patients meurs,il pleure longtemps avant de rendre le corps à la famille. Il est beaucoup aimé dans le quartier,et peu de personnes ne l'apprécie pas. Un brave type.

C'est ce que se disent les personnes de lui.

En vérité,Philip est une personne bien plus inquiétante et dangereuse,fou à lié. Sa femme fut le cobaye de sa toute première expérience sur le moyen de modifier biologiquement des humains,pour le service d'un gang voulant renverser le pouvoir contre une colossale somme d'argent. Bien que le gang a été éradiqué depuis,les mutants qu'il a créé sont encore en cours d'expérimentation. Philip ne rends pas compte de ce qu'il fait,pour lui,il leur fait un don incroyable,et il pense que sa femme lui est très reconnaissante. Ses enfants sont morts lors de ses expérimentations,et Philip c'est dit que si il avait de nouveaux enfants avec sa femme mutante,il aurait les premiers spécimens d'une nouvelle race. Malgré tout,ses tentatives de reproduction avec la mutante ont toutes échouées,il semblerait que sa femme ne puisse plus accoucher. Mais Philip continue d'essayer,à la fois car il refuse d'avoir échoué,et aussi par amour pour sa femme.

Il a maintenant quatre mutants sous son service,Valentine,sa femme,devenue une silhouette frêle avec quatre bras au doigts griffus,mais plus agile qu'un humain. Il y a Ashenus,une sorte de colosse bicéphale avec une pince métallique greffée à la place du bras droit et un petit canon rotatif à la place du bras gauche ( celui-là a du mal a obéir ). Ikrian est un homme difforme pouvant se plier dans n'importe quel sens,et qui jette des liquides corrosifs par la bouche,il se déplace sur ses deux jambes avec une démarche étrange. Zarkaïr est un projet en cours,conçu pour être un redoutable combattant au corps à corps. Philip tente de lui ajouter des bras pour remplacer les extrémités par des lames,mais ce n'est encore qu'un prototype.

Philip lui-même est un peu génétiquement modifié,il a changé sa musculature pour qu'elle soit imposante et forte au lieu de frêle et faible.

Pour parvenir à travailler sur des cobayes,il fait simuler la mort des certains patients ayant un fort potentiel,et fait croire qu'il va redonner le corps à la famille. Enfait,il les emmène chez lui,et expérimente. Il a déjà tenté des expériences douze fois,et la plupart du temps,les cobayes meurt au cours des modifications génétiques.

Philip n'a pas encore utilisé ses mutants contre Mandrasa,mais dés que Zarkaïr sera terminé,il commencera son plan.

Nom: SANDERZ
Prénom: Pech
Profession: Inquisitrice
Taille: 1m72
Poids: 56 kg
Age: 68 ans (environ)
Equipement: trop nombreux et trop divers à l’intérieur de son vaisseau pour en faire une liste complète





Pech Sanderz est une Inquisitrice de l’Ordo Malleus possèdent des liens étroits avec l’Ordo Xénos ainsi qu'avec la mystérieuse confrérie Astral Wyrms des Chevaliers Gris.
Elle mesure un mètre et soixante douze centimètres pour un point de cinquante-six kilogrammes.
Son physique est irréprochablement attirant pour la plupart des Hommes aussi bien grâce à son visage simple mais tonique qu’à sa silhouette fine mais bien proportionnée.
Elle possède des yeux d’un noir profond dissimulant un abîme de connaissance derrière ces pupilles formant ces immenses trous noirs infinies. Ces longs cheveux lui arrivent un peu avant les hanches et son fins et d’un brun le plus foncé.
A première vue elle peut sembler fragile mais son entrainement physique acquis dans les circonstances les plus secrètes de l’Inquisition est suffisant pour lui permettre de vaincre la plupart de ces adversaires sans grandes difficultés.
Pourtant ces facultés physiques à même de faire passer un sergent vétéran des troupes de chocs impériales pour adolescent ne sont que futiles par rapport à ces facultés mentales et psychiques.
Malgré qu’elle reste loin d’égalée un Bibliothécaire Space-Marine, ces capacités restent tout à fait hors normes et sont supérieur même à la majorité des psyker de combat employés par la Garde Impériale.
Elle est capable de dissipé un grand nombre de sortilèges adverses tout en utilisant les siens à ces propres fins Son entrainement et son équipement lui permettent de se prémunir des périls du Warp.
Elle est capable de bannir des démons mineurs avec aisance et de réduire considérablement les pouvoirs surnaturels des autres créatures du Warp. Elle capable de moult sortilèges comme créer des lignes de force psychique, des pseudo dons de presciences (malgré qu’ils soient que très peut poussés et sur un laps de temps allant de la dizaine de minute au maximum sans être précis pour autant), ainsi que bien d’autres pouvoirs dont elle se ne se sert heureusement pas la majeure partie du temps.
Elle ne dispose jamais quelque soit les occasions de maquillages ou d’ornements décoratifs pour la parure, se serais une perte de temps et d’une inutilité flagrante tout en étant absolument ridicule selon ces dires.


Pech à beaucoup de difficultés à travailler seule et se retrouver sur le théâtre d’opérations sans cohorte ne serais ce que d’un seul individu.
C’est pourquoi la majorité du temps elle est accompagné de serviteurs ou de Xénos tous plus étranges les uns que les autres.
Elle est donc accompagné pour sa mission à Mandrasa de Nhuckullm un énigmatique Jokaéros aux poils roux, fidèle camarade qui l’accompagne dans la plupart de ces missions, ces connaissances technologiques venant contrebalancer ces faiblesse dans se domaine, ainsi que Ghul’shik un Haemovore Ophidien ayant obtenue rédemption au sein de l’Inquisition et qui est employé comme acolyte dans toute sorte de taches diverses et variées tout en étant un efficace garde du corps.
Un grand nombre de Servo-Crânes se déplacent en permanences à proximité de cette cohorte récoltant et identifient diverses informations.


Pech fut mandaté pour faire un rapport de la situation au sein de Mandrasa et de faire un rapport détaillé au sein des différents ordres de la situation de se secteur à la « veille » d’élections très importantes. Elle est aussi envoyé traquer les différents groupes d’hérétiques qui pourraient se créer en vue des événements importants à venir. Pourtant elle c’est équipé du strict minimum pour cette mission privilégient la discrétion, elle devra au maximum se fondé dans le décors et appartenir au différentes factions ayant de l’influence sur Mandrasa. Pour cette raison elle arriva sur Mandrasa avec un petit vaisseau possèdent aucun armement fixe et ne possèdent que pour protection un champ dissimulateur d’une très bonne qualité. Ce vaisseaux servira d’avant base une fois posé à la surface et dispose de suffisamment d’espace et de ressource pour son voyage ainsi que pour sa cohorte.


Elle ne recule jamais devant une tache à accomplir et est prête à tous les sacrifices pour sa mission.

Nom : Syphilus
Surnom : L'Apôtre Noir
Âge : Inconnu
Arme : Une grande faux à la lame noir et corrompue.

Prénom : Mazor (mais une seule personne peut l'appeler ainsi et s'en tirer vivant : sa sœur)
Nom : Inconnu au bataillon
Surnom : Lame Sanglante, l’Écarlate, le Buveur d'Âmes, Thanatos (prénom usuellement utilisé)

Race : Demi-eldar noir
Age : 63 ans, apparence 18/20 ans
Taille et poids : 1m86 pour 78 kilos

Avantages : Ses capacités physiques et sensorielles supérieures à l'humain lambda, son expérience du combat, sa haine.
Faiblesses : Son exclusivité pour les armes de corps-à-corps, son impulsivité, sa haine.
Faction : les Rejetés



Armes :
-Daes'Rakan : épée longue utilisable à une comme à deux mains. Elle est à double tranchant et adaptée aussi bien au coup d'estoc que de taille. Sa lame est droite, longue d'un peu plus de 150 centimètres, les tranchants d'une couleur vermeil devenant quasiment noire au niveau du centre. Le tout est monté sur une garde sculptée en tête de félin de chaque côté, une paire de cornes acérés remontant le long de chaque tranchant. La poignée est un simple cylindre de métal noir enroulé d'une couche de cuir de la même couleur. Elle possède un tranchant capable de venir à bout de quasiment n'importe quelle armure, et est d'une légèreté incomparable, semblant parfois guider les gestes de son porteur qui plus est. En réalité l'essence d'un esprit démoniaque mineur est enfermé dans la garde et lui confère ces propriétés remarquables.
-Cimeterre de 90 centimètres de long
-Couteau de combat, au quotidien
Vêtements civils :
-Pantalon cuir noir, motifs tribaux rouges
-T-shirt blanc, ornementé d'un crâne stylisé cuivré
-Veste de cuir noire
-Basket noire et blanche
Tenue de combat :
-Sous-protection semi-composite rouge foncé
-Armure légère, couleur rouge sang et cuivre, gantelets et jambières dotés de crochets, un crâne stylisé est gravé sur la plaque pectorale
Équipements :
Vide



Description physique :
Mazor est quelqu'un de fin et élancé. Son mètre quatre vingt-six lui permet de surpasser pas mal de monde en taille, du moins tant qu'on reste dans les critères humains. Svelte, moins léger que l'on pourrait le penser, il est convenablement musclé et possède un entretien physique clairement supérieur à la plupart des hommes. Ses gestes sont fluides, souples et élégants, et pourraient presque montrer à eux seuls son ascendance xenos à un observateur avertis. S'il ne possède aucune blessure grave, son corps est saturés de cicatrices superficielles, fines éraflures dans sa peau blafarde, et sa poitrine et son dos possèdent un important nombre de tatouages, symboles de la mort et du chaos. On peut même apercevoir sur ses avant-bras des traces de scarification.
Son visage porte la trace de sa pire blessure, une longue cicatrice partant de son front, longeant l'arcade sourcilière droite, évitant l’œil et descendant jusqu'au menton. A l'exception de ce détail il est particulièrement harmonieux, fin et noble dans ses traits. Toutefois, une bouche aux lèvres pâles, deux yeux d'un rouge sombre étrange, des oreilles légèrement trop longue lui donne un air inquiétant et surtout des cheveux mi-longs blancs avec d'étranges mèches d'un noir intense. Ajoutez à cela toute une panoplie de rictus malsains et vous obtenez un visage qui, s'il peut parfois être magnifique, se révèle généralement profondément déstabilisant.

Description morale :
Mazor est un être haineux, remplis du vice et du sadisme de sa race paternelle. Il déteste absolument toute forme de vie intelligente, à la seule exception de sa sœur Temis avec laquelle il entretient une relation étroite, fusionnelle presque, malgré ce qui ressemble à une perpétuelle opposition et qui est en réalité une complémentarité parfaite. Les deux faces d'une même pièce.
Il a hérité de son père des colères violentes, et un manque de morale ou de pitié flagrant. Il aime tuer et il le fait comprendre. Néanmoins, il n'as pas la même fourberie légendaire qui est associée aux eldars, noirs ou pas. Il préfère combattre ses ennemis les yeux dans les yeux, sans diversions ni farces d'aucune sorte. Et a ce petit jeu là, personne ne l'a encore jamais battus.
Mazor n'accorde que peu d'importance à son statut personnel, tant qu'il répond à ses besoins. Il ne renie pas pour autant le luxe, l'opulence ou d'autres valeurs matérielles, mais ne les recherchent pas avec autant d'ardeur que certains de ses pairs. Il veut tuer et pouvoir continuer à tuer. Assez peu étonnamment, Mazor est très proche du culte de Khorne, restant toutefois un adorateur du chaos universel, sans doute uniquement grâce à la présence de sa sœur.

Particularité de sang-mêlée :
Outre son agilité inhumaine et sa plus grand sensibilité sensorielle, Mazor a hérité d'un autre trait propre aux eldars noirs : leur soif d'âmes. Non, Mazor 'est pas dépourvus de toute âme comme son père, mais il reste excessivement peu visible sur le plan psychique. Très utile (démons et psykers ont beaucoup moins de prise sur sa personne) cela entraîne également la même soif de violence et de sadisme qui anime chaque eldar noir. Et comme eux, plus il tue plus il devient puissant, atteignant parfois une force, une endurance, une rapidité et des sens deux ou trois fois supérieurs à ceux d'un humain lambda. Phénomène rare toutefois, et qui le laisse généralement avec un sentiment de vide interne désagréable.



Historique :
L'histoire de Temis et Mazor commence sur un vaisseau de transport impérial, alors qu'il empruntait une route commerciale fréquentée et relativement sure habituellement. Toutefois ce n'est pas le capitaine, le timonier, l'un des seconds ou même un simple marin qui nous intéresse, mais une misérable passagère clandestine, cachée à fond de cale.
Jusqu'ici rien d'anormal, une bonne vingtaine d'autres miséreux étaient dans le même cas, comme dans tout vaisseau de ce genre. Là où tout bascula ce fut quand alors qu'ils se rapprochaient de leur destination, un vaisseau xenos surgit et aborda le transport, des dizaines de guerriers à l'armure noire et aux armes sans égales déferlant dans les couloirs.

Lorsqu'un petit groupe d'entre eux atteint les cales, ils firent une razzia sur les clandestins qui ne tentèrent même pas de résister à partir du moment où l'un d'eux se soit fait arracher la tête d'un revers négligent d'épée.
Celui qui semblait être le chef du groupe, un type portant deux épées à l'aspect bizarre et une tenue moulante peu couvrante, remarqua du coin de l’œil la clandestine dont je vous parlais et se souvint que ça faisait longtemps qu'il n'avait pas vider ses organes génitaux.
L'affaire fut expédier rapidement et sans ménagement (ce n'était qu'une humaine) et, alors qu'il s'apprêtait à la tuer pour atteindre son paroxysme de plaisir, la jeune femme saisit un bout de métal qui traînait et l'enfonça dans le bras de l'autre en un geste désespéré pour sa survie. L'autre vit le coup venir mais ne fit rien pour l'empêcher, amuser. Alors que la jeune femme se réfugiait derrière un générateur de secours, il retira l'arme improvisé sans même lâcher un râle de douleur, et s'apprêtait à revenir la tuer lorsque l'un de ses confrères l'appela, dans une langue que la femme ne pouvait pas comprendre. Le xenos se détourna de sa victime, quittant la salle avec le guerrier mystérieux. Ils n'avaient laissé qu'une femme en pleurs et un cadavre de la vingtaine de clandestins. Au moins pensait-elle naïvement que tout était finis. C'était sans compter l'ovule fécondé qui s'installait déjà dans son ventre.


Des années plus tard, cette même clandestine était installée dans les quartiers miséreux de sa ville, se débrouillant péniblement pour leur permettre de survivre, elle et les deux marmots qu'elle pensait issus de sa période difficile en tant que prostitué. Alors qu'en réalité ils sont issus du viol sauvage survenus dans le transport, qu'elle s'est efforcé d'oubliée.
Néanmoins, le physique et comportement pour le moins étrange des deux enfants la déstabilisait quelque peu. Ils étaient extrêmement blanc, de même que leurs cheveux ce qui ne la choquait pas étant donné que c'était sa propre couleur. Les mèches d'un noir intense et les yeux rouges étaient déjà nettement plus étranges, mais après tout... Il est heureux pour les deux enfants, prénommé Mazor et Temis, qu'elle n'est pas remarqué à cette époque leurs oreilles légèrement pointues.

Plus les enfants grandissaient, plus elle se posait de questions. Ils étaient amoraux, asociaux, ne semblait lui prêter aucune attention et ne s'entendait bien qu'entre eux. De plus, leur particularités physiques allaient croissante ce qui les isolaient de plus en plus de ce qui aurait du être leurs camarades.
Tout déborda alors qu'ils avaient une dizaine d'années, lorsqu'un gamin d'ouvrier, s'amusa à lancer des cailloux sur Temis et Mazor. Le deuxième se serait bien battus tout de suite, poussé par la colère qui grondait perpétuellement en lui, mais sa sœur le retint, le gamin étant entouré de sa bande de potes.
Ils lui tombèrent tous les deux dessus le soir même, alors qu'ils rentraient chez lui. Ils le lardèrent de coups de cailloux, y mettant toute leur haine et leur rancœur (surtout Mazor). Lorsqu'il fut au sol, Mazor s'approcha de lui, dégainant un cran d'arrêt qu'il avait un jour volé. Les minutes qui suivirent fut horrible pour la victime, Mazor prenant soin de l'écorcher vif avec une précision démoniaque, suivant ses plus bas instincts. Temis regardait, sans participer mais heureuse de voir cet être misérable souffrir.

Lorsque, soucieuse de leur sort, leur mère les trouva occupé à cette macabre tâche, elle le prit précipitamment, arrachant les deux monstres à leur plaisir. Elle les ramena dans leur petit appartement et se précipita sur le téléphone. Temis prévint son frère qu'elle s'apprêtait à appeler la police et celui-ci, mu par un sentiment de puissance et de bien-être, saisit un couteau de cuisine et s'approcha de sa mère, glissant sans hésitation le couteau entre ses côtes dès qu'elle eut saisit le téléphone.
Elle poussa un cri de douleur et s'effondra, glissant misérablement sur le sol. Mazor retira le couteau, permettant l'écoulement de sang, et s'apprêta à le replanter, en plein cœur. A moitié morte, elle se traîna au pied de sa fille, restée impassible, qu'elle savait seule capable de calmer le frère. Elle voulut la supplier, mais pour toute réponse sentit la jeune fille enfoncer aussi profondément que possible son ours en peluche dans la gorge de celle qui l'avait mis au monde, rapidement aidée de Mazor pour l'empêcher de se débattre. Quelques minutes plus tard, leur mère mourrait.


Les années qui suivirent furent particulièrement dures. Privés de soutien et de ressources, rejetés pour leur différence, ils errèrent pendant six longues années, mendiant et volant. Certains seraient morts à leur place, mais ils voulaient tenir, faire payer à tous ceux qui les méprisaient.
Un jour, alors qu'ils s'apprêtaient à attaquer et dépouiller ce qu'il pensait être un ivrogne, ils faillirent bien mourir. En effet, sous ses faux airs, l'homme était un redoutable combattant qui les neutralisa en deux passes. Il aurait pu les tuer, de nombreux autres l'aurait fait au vu de l'étrange allure des deux orphelins, allure qu'ils cultivaient d'ailleurs, revendiquant leur différence.
Mais au lieu de ça il les laissa en vie, mieux il les invita à le suivre. Ce fut le deuxième tournant majeur de leur vie. Ils rejoignirent en effet une cabale, dont le maître était la personne qu'ils avaient essayés d'agresser. Rapidement adopté au sein de cette fratrie constitué des déchets de la société, ils furent éduqués et ils s'élevèrent rapidement, chacun dans leur domaine. Temis était une excellente tireuse, calme et réfléchie, Mazor le meilleur épéiste, violent et impulsif.
Après quelques années dans le groupuscule, ils commencèrent à être initié aux rituels chaotiques et véritablement au métier d'assassin qu'on leur destinait, un métier rêvé pour les parias comme eux.

Petit à petit ils acquirent une solide réputation, et se montrèrent des cultistes dévoués, bien qu'opposés dans leur préférence. La relation fusionnelle qui s'était crée entre eux jusqu'à maintenant n'en souffrit pas le moins du monde et ils restèrent aussi proche, voir même encore plus.
Si Mazor appréciait sa situation ainsi, Temis était dévorée d'ambition et, le jour où elle décida de mettre son plan a exécution, n'eut que peu de mal à convaincre son frère de la suivre. A eux deux ils s'introduisirent dans les quartiers privés du maître de la cabale, le même qui les avait recueillis quelques années plus tôt, et l'égorgèrent dans son sommeil.
Si quelques uns des membres de la cabale trouvèrent quelque chose à redire à l'assassinat et la passation de pouvoir qui s'en suivit, le duo devenant officiellement les dirigeants bien que se soit Temis qui est tout le pouvoir en réalité, personne n'osa en parler, les deux demi-eldars effrayaient bien trop leur confrère.

Sans doute les opposants avaient-ils espérés pouvoir attendre qu'il s’affaiblissent avec l'âge, ils étaient déjà à leur dixième année dans la cabale et l'espérance de vie n'y était pas très élevé à partir du moment où le corps commençait à faiblir.
Le problème était que des demi-eldars vieillissent beaucoup moins vite que des humains, si bien que vingt ans plus tard, le duo était encore en pleine forme, semblant toujours aussi jeune, alors que leur opposants se décrépissaient petit à petit. Temis dirigea la cabale avec efficacité durant une longue période, permettant au deux sang-mêlés de s'offrir un bon matériel et des conditions de vie plus qu'acceptables. Mazor trouva d'ailleurs Daes'Rakan à cette époque, dans un coffre vétuste entreposé dans les réserves depuis un temps apparemment lointain. Il ne sut jamais vraiment pourquoi il avait choisi d'appeler ainsi la lame, quelque chose lui disait que c'était son nom, c'est tout.

Dernièrement, tout bascula lorsqu'une enquête de l'Arbites réussit presque à remonter jusqu'à eux. N'ayant alors pas d'autres choix que la fuite, les faux-jumeaux embarquèrent avec un maximum de leur suivants sur un vaisseau de transport en partance vers ils ne savaient où.
Finalement, ils débarquèrent sur la planète bloquée de Mandrasa, blocage qui ne les empêcha pas de se poser dans l'astroport et de pénétrer dans la capitale à quelques kilomètres. Ils y trouvèrent un monde au bord de la guerre civile, les riches affrontant les pauvres à tous les niveaux, faisant semblant d'être organisé autour de deux institutions politiques.
Ils s'installèrent dans les quartiers portuaires, là où la présence criminelle était la plus forte, t également un lieu d'affrontement régulier entre les deux partis. Ils purent faire profiter des services de leur assassin contre des paiements, plus ou moins exorbitants, et retrouvèrent rapidement leur rythme de vie avant l'exode.

Actuellement leur petit culte est composé d'une trentaine de membres. Cinq assassins, des meurtriers accomplis et redoutables, préférant généralement les armes à longue distance bien qu'un ou deux privilégient le contact, constituent les mercenaires et rapportent la plus grosse part des revenus. C'est Mazor qui les dirige lorsque le besoin s'en fait sentir, même si toujours sous la supervision de Temis. Une troupe d'une dizaine de guerrier servent de défenseur, gardent les locaux contre les gangs du quartier et d'autres voyous, voir peuvent intervenir dans des missions de mercenariat. Ils sont généralement équipés d'armes et de protections de type militaire, mais ne sont pas forcément aussi entraînés que les assassins. C'est Temis qui les dirige.
Et le reste est composé de simples cultistes, venant prier les Dieux Noirs. Ils ne possèdent que peu de formation au combat et seulement des armes rudimentaires, mais leur nombre va croissant, la perspective d'élévation séduisant pas mal de monde sur les docks. Tant qu'il ne rejoignent pas les rangs de combattants ou d'assassins, ils ne sont toutefois pas totalement pris en charge par la cabale et doivent vivre en grande partie par leur propre moyen.

Prénom : Temis
Nom : Inconnu.
Surnom : Inconnu.

Race : Demi-eldar noir
Age : 63 ans, apparence 18/20 ans
Taille et poids : 1m86 pour 66 kilos.

Avantages : Son héritage Eldar, sa patience et son adresse au tir.
Faiblesses : Corps à corps, trop sûre d’elle-même.
Faction : les Rejetés.
Armes : Fusil d’assaut modulable (Type m14), deux pistolets mitrailleurs, couteau de combat et pistolet silencieux, armure composite de couleur noir, lunettes rouges avec système de visée intégrée, oreillette. Divers vêtements civiles.

Description physique : Temis est une personne fine et élancée. Néanmoins, son héritage Eldar se retrouve dans sa manière souple et gracieuse de se déplacer, ainsi que dans son élégance naturelle. Sa peau est aussi blafarde que celle de Mazor, mais elle fait attention à elle et n’a presque aucunes cicatrices, mis à part une cicatrice sur son omoplate. Elle n’a pas de tatouages et ne se scarifie pas.
Ses traits du visage sont plus fins que ceux de son frère, et si celui-ci est très déstabilisant, elle attire le regard grâce à sa beauté pour le moins exotique. Mais gare à ceux qui tenteraient d’y mettre la main. Le corps entrainé et finement musclé de Temis réserve des surprises, certaines plus désagréables que d’autres…..Hormis cela, elle reste en tout point semblable à son frère : Des cheveux blancs aux mèches noirs, qui descendent jusqu’à ses hanches et généralement coiffés en une longue natte. Des yeux rouges sombres et des oreilles légèrement pointues confirment son ascendance xénos. Si par le passé, Temis et Mazor ont dû dissimuler leurs origines, c’est à présent un motif de fierté. Le sourire malicieux de la sœur réussit toujours à calmer son frère, et peut se révéler être un piège effroyable….

Description mentale : Si Mazor a hérité de la sauvagerie et du sadisme des Eldars noirs, Temis a hérité d’une intelligence diabolique, ainsi qu’une certaine patience, chose rare chez les humains aussi bien que les Eldars noirs. Si Mazor est le pile d’une pièce, Temis en est la face. Derrière chaque action de la cabale et de son frère se cache son intelligence froide et calculatrice, ainsi que sa folle ambition. D’apparence calme, Temis peut réserver bien des surprises, que ce soit au combat ou lors d’alliances avec d’autres chaotiques. Après tout, la trahison est un magnifique héritage paternel, autant le faire partager avec les autres…..
Temis est la seule personne qu’aime son frère, et vice-versa, mais si son frère déteste à peu près tout le monde, sa sœur ne réserve son courroux que pour certaines personnes. Elle peut se montrer aussi violente que son frère, en de très rares occasions. Elle vénère le chaos universel, bien que ses faveurs soient plutôt envers le dieu du changement ou de manière moindre, le prince des plaisirs.
Sa relation avec son frère est presque fusionnelle. Elle ressent presque ses émotions, ses pulsions et ses intentions. Elle se demande si le contraire est vrai et ne soupçonne pas encore dons psyks qui son restaient endormis jusqu’à maintenant, ne se manifestant que par de rares occasions.

Historique : L’histoire de Temis et de Mazor est identique.

Nom : Damadrian
Prénom : Selenel
Age : 320 ans
Race : Eldar
Taille :1m65
Spécialisation : Psyker
Équipement : Sacoche contenant plusieurs runes, une lame psy, catapulte shuriken

Description physique... : Jeune eldar plutôt petite, son physique à tendance à se démarquer des autres. Ses cheveux roux lui tombent jusque dans le haut du dos, marqués par quelques élégantes mèches blondes parsemées. Ses deux yeux bleu et sa peau blanche lui donne tout un charme. Ses deux oreilles dépassent légèrement de ses cheveux, bien que très peu perceptible, si bien qu'il serait difficile de la distinguer d'une humaine lambda. Son visage reflète une douceur presque enfantine, bien qu'elle soit tout à fait sérieuse. Enfin, seul élément de son physique prêtant la confusion : plus fine et plus élégante alors que d'autres femmes eldar, tout laisse à penser qu'elle n'est absolument pas taillée pour le combat en corps à corps. C'est bien souvent l'erreur que font ceux qui la sous-estiment, car elle est une adversaire redoutable, capable d'anticiper les moindres feintes grâce à ses pouvoirs psy et ainsi contrer et riposter avec l'agilité que lui confère son corps.

Selenel se distingue d'une autre façon : elle est quasiment, voir toujours habillée en blanc, ce qui est assez étrange pour une eldar native de Ulthwe.

...et Morale : Selenel est une tacticienne hors-pair, et ce, grâce à ses pouvoirs psy. Elle est capable de voir des bribes de l'avenir, et ainsi mieux se préparer à l'affrontement à venir. De ce fait, rares sont les choses capables de l'étonner.
Elle est de nature assez calme et douce, gentille même, trop peut-être. Selon son père tout du moins, au point qu'elle à la fâcheuse à oublier d'achever son adversaire après le combat. Cette douceur lui donne néanmoins une capacité exceptionnelle à apaiser les esprits, qu'ils soient en colère ou en peine.


Historique : Selenel est native d'Ulthwe. Fille de l'autarque Ylthmerion Damadrian, issu de la grande lignée de guerriers que sont les Damadrian. Elle est finalement une exception dans cette famille : elle est la seule à ne pas à voir suivit la voie du guerrier aspect, malgré les réticences de son père. Elle montra très vite une affinité toute particulière avec le warp, au point d'avoir des visions de l'avenir, faisant d'elle une prophétesse toute désignée, et pourquoi comme l'espère son père, plus tard, une grande prophétesse.
Sa vie calme et paisible fut seulement marquée par la mort sa mère, quand elle n'avait encore que 50 ans. Elle eut du mal à s'en remettre, et semble encore aujourd'hui attristée.
Une vision la secoua il y a quelques mois, qui apparaissait à diverse reprise mais jamais de manière régulière. Selenel ne parvenait pas à y trouver d'explication rationnelle, et ce fut suffisant pour que son père décide de s'y intéresser. Les nuits de la jeune eldar furent de plus en plus visitée à par cette vision, l'empêchant même de dormir.
Finalement, on put identifier la planète en question comme étant Mandrasa. Le fragment du vaisseau, au fil des siècles, avait intégré peu à peu la roche de la planète, si bien qu'il n'était plus visible. On parle cependant de recherche menée à l'extérieur de la ville, disant que les activités minières avaient mis à jours une ancienne porte d'origine xéno, mais que l'on n'avait encore pas réussit à l'ouvrir. La porte semblait en effet faire partit d'un ensemble plus important.